charmeur
Français modifier
Étymologie modifier
- (XIIIe siècle) Charmeor, de charmer.
Adjectif modifier
Singulier | Pluriel | |
---|---|---|
Masculin | charmeur \ʃaʁ.mœʁ\
|
charmeurs \ʃaʁ.mœʁ\ |
Féminin | charmeuse \ʃaʁ.møz\ |
charmeuses \ʃaʁ.møz\ |
charmeur \ʃaʁ.mœʁ\ masculin
Synonymes modifier
Traductions modifier
Nom commun modifier
Singulier | Pluriel |
---|---|
charmeur | charmeurs |
\ʃaʁ.mœʁ\ |
charmeur \ʃaʁ.mœʁ\ masculin (pour une femme, on dit : charmeuse)
- Celui qui use de charmes ou qui fascine.
- Un charmeur de serpents.
- (Vieilli) Celui qui exerce une influence magique.
- Celui qui plaît, qui séduit les gens.
- On ne lui résiste pas, c’est un charmeur.
- Mon mari était un charmeur et je l’ai quitté. — (Lise Bourbeau, Les relations intimes, 1992)
Dérivés modifier
Synonymes modifier
- Qui exerce une influence magique :
- Qui plaît, qui séduit :
Traductions modifier
Prononciation modifier
- La prononciation \ʃaʁ.mœʁ\ rime avec les mots qui finissent en \œʁ\.
- (Région à préciser) : écouter « charmeur [Prononciation ?] »
Homophones modifier
Anagrammes modifier
→ Modifier la liste d’anagrammes
Références modifier
- Tout ou partie de cet article a été extrait du Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (charmeur), mais l’article a pu être modifié depuis.
Voir aussi modifier
Néerlandais modifier
Étymologie modifier
- (Date à préciser) Du français charmeur.
Nom commun modifier
Nombre | Singulier | Pluriel |
---|---|---|
Nom | charmeur | charmeurs |
Diminutif | — | — |
charmeur \Prononciation ?\ masculin (pour une femme, on dit : charmeuse)
Apparentés étymologiques modifier
Taux de reconnaissance modifier
- En 2013, ce mot était reconnu par[1] :
- 99,2 % des Flamands,
- 98,7 % des Néerlandais.
Prononciation modifier
→ Prononciation manquante. (Ajouter)
- Pays-Bas : écouter « charmeur [Prononciation ?] »
Références modifier
- ↑ Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. → [lire en ligne]