Voir aussi : repression

Français modifier

Étymologie modifier

(Siècle à préciser) Du latin repressio.

Nom commun modifier

Singulier Pluriel
répression répressions
\ʁe.pʁe.sjɔ̃\
ou \ʁe.pʁɛ.sjɔ̃\

répression \ʁe.pʁe.sjɔ̃\ ou \ʁe.pʁɛ.sjɔ̃\ féminin

  1. Action de réprimer.
    • Avant la conquête française, la Kabylie ne connaissait pas d’autre mode de répression que la vengeance privée et les Kabyles n’étaient pas de mauvaises gens. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, Chap. VI, La moralité de la violence, 1908, page 256)
    • Les fusils partaient, des étrangers étaient tués. L’ordre revenu, on punit quelque fellahs en guise d’exemple. Son père, dont le caractère était vif, périt dans la répression. — (Out-el-Kouloub, Zaheira, dans Trois contes de l’Amour et de la Mort, 1940)
    • La « drôle de guerre » menée par la bourgeoisie française plus soucieuse de répression anticommuniste et de menées antisoviétiques que de lutte antihitlérienne oblitère pour le plus grand nombre le sens de la guerre. — (Cahiers du communisme, 1980, page 29)
    • Le gouvernement ordonne une répression sanglante. Arrestations, pendaisons, exécutions sommaires plongent Tripoli dans un bain de sang. — (Tewfik Farès, 1911 : la Libye en guerre, déjà, dans Libération du 18 mars 2011, p. S12)
    • Entre la répression et la licence se trouve le juste milieu du contrôle. — (Arnaud Desjardins, Les chemins de la sagesse, La Table Ronde, Pocket spiritualité, 1999, page 446)

Dérivés modifier

Traductions modifier

Prononciation modifier

Anagrammes modifier

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Voir aussi modifier

Références modifier