Étymologie

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Dérivé de éternuer, avec le suffixe -ment.
Le mot est écrit « esternuëment » ou « esternûment » dans la première édition du Dictionnaire de l'Académie français (1694), puis « esternuëment » ou « esternument » dans la deuxième édition (1718), « eternument » dans la troisième (1740), « éternument » dans les quatrième, cinquième et sixième éditions (1762, 1798 et 1835), « éternuement » ou « éternûment » dans la septième (1878), puis uniquement « éternuement » à partir de la huitième (1935)[1].

Nom commun

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SingulierPluriel
éternuement éternuements
\e.tɛʁ.ny.mɑ̃\

éternuement \e.tɛʁ.ny.mɑ̃\ masculin

  1. Action d’éternuer.
    • Soudain, nouveau bruit… Cette fois, il n’y a pas à se tromper… Un éternuement à demi étouffé a fait trembler les parois de la caisse…  (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre IV, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
    • Longue marche dans le brouillard. Le régiment tousse, moins la compagnie du lieutenant Viard, où la toux est punie et où les soldats se rattrapent sur l’éternuement.  (Jean Giraudoux, Retour d’Alsace - Août 1914, 1916)

Synonymes

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Traductions

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Prononciation

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Anagrammes

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Voir aussi

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Références

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