د ب ب
Arabe Modifier
Étymologie Modifier
- (Date à préciser) Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
- Le concept central semble être de دَبَّ (dabba) (« se traîner »), d'un دَابَّةٌ (dâbb@ũ) دَبُوبٌ (dabûbũ) (« qui marche lentement »), l'archétype étant un دُبٌّ (dubbũ) (« ours ») ou un دَبِيبٌ (dabîbũ) (« rampant »).
- De l'ours viennent quelques images comme دَبِبٌ (dabibũ) (« qui a du poil aux joues ») ou دَبَّاءُ (dabbâ'u) (« féminin barbue »), et donc de là l'idée de دَبَبٌ (dababũ) (« défaut »).
- L'idée de ramper sur le sol donne دُبَّاءُ (dubbâ'u) (« courge »), ou encore مَدِبٌّ (madibbũ) (« piste rampante ») qui peut signifier la piste d'un animal rampant, ou un lieu où l'eau s'écoule ou suinte.
Radical Modifier
- د ب ب
- ramper
Dérivés de د ب ب Modifier
- دَبَّ (dabba) : se traîner
- دَبَّبَ (dab²aba) : aiguiser
- أَدَبَّ (adabba) : faire marcher lentement
- دَبٌّ (dabbũ) : pas d'un vieillard
- دَبَّةٌ (dabb@ũ) : dune
- دَبَبٌ (dababũ) : défaut
- دَبِبٌ (dabibũ) : qui a du poil aux joues
- دِبٌّ (dibbũ) : pas lent
- دِبَّةٌ (dibb@ũ) : pas lent
- دِبَبَةٌ (dibab@ũ) : pluriel ours
- دُبٌّ (dubbũ) : ours
- دُبَّةٌ (dubb@ũ) : manière d'agir
- دُبِّيٌّ (dubbiy²ũ) : ursin
- دَبَّاءُ (dabbâ'u) : féminin barbue
- دُبَّاءُ (dubbâ'u) : courge
- دُبَّاءَةٌ (dubbâ'@ũ) : courge (unité)
- دَبَبَانٌ (dababânũ) : poil aux joues
- دَبَابِ (dabâbi) : appel de la hyène
- دَبَّابٌ (dab²âbũ) : rampant
- دَبَّابَةٌ (dab²âb@ũ) : tank
- دَبِيبٌ (dabîbũ) : rampant
- دَبُوبٌ (dabûbũ) : qui marche lentement
- دَابَّةٌ (dâbb@ũ) : animal
- دَيْبُوبٌ (daybûbũ) : intrigant
- دُوَيِبَّةٌ (duwayibb@ũ) : animalcule
- أَدَبٌّ (adabbũ) : barbu
- أَدْبَابٌ (adbâbũ) : pluriel ours
- مَدَبٌّ (madabbũ) : piste rampante
- مَدَبَّةٌ (madabb@ũ) : pays à ours
- مَدِبٌّ (madibbũ) : piste rampante
- مُدَبَّبٌ (mudab²abũ) : pointu
Références Modifier
- Dictionnaire arabe-français, vol. 1, Biberstein-Kazimirski, 1860 → consulter cet ouvrage (p.661)
- Dictionnaire arabe-français, vol. 1, Auguste Cherbonneau, 1876 → consulter cet ouvrage(p. 258)