Voir aussi : gomphe

Français modifier

Étymologie modifier

Variante de Gomphes, ville antique de Thessalie[1][2]. → voir Gomphes
Le terme a été popularisé par Philippe et Daniel Berthelot dans le sonnet Alexandre à Persépolis, 330 av. J.-C.. Le mot triomphe étant réputé pour n’avoir presque pas de rimes.

Nom propre modifier

Gomphe \ɡɔ̃f\

  1. Gomphes, ville de Thessalie[3].
    • […] Et le marbre doré des murailles de Gomphe ? — (Philippe et Daniel Berthelot, Alexandre à Persépolis, 1886 ?, < 1901)
    • Le monitoire m’ordonnoit aussi de me presenter devant l’archevêque Epiphane avec Eustache évêque de Gomphe, Elpide de Thebes & Estienne de Lamine, comme auteurs de mon ordination. — (Monsieur l’Abbé Fleury, Histoire ecclesiastique, tome 7, page 320, 1727, Emery, Saugrain, Pierre Martin)

Prononciation modifier

Homophones modifier

Voir aussi modifier

Références modifier

  1. Vie de César, Plutarque, XLVIII, traduction de Dominique Ricard, 1798-1803, Wikisource
  2. Félix GaffiotDictionnaire latin français, Hachette, 1934 → consulter cet ouvrage
  3. « Philippe [Berthelot] sortit un feuillet de sa poche et montra le sonnet. Hérédia [mort en 1905] apprit ainsi que Gomphe est une ville de Thessalie, que le gromphe est un scarabée noir de l’Egypte, que le terme chrysogomphe désigne une cassette dont les charnières sont en or et que le romphe est une fleur en forme de coupole. » — (Ève Paul-Margueritte, Deux frères, deux sœurs : deux époques littéraires, page 119, 1951, Peyronnet)