Conjugaison des verbes français se terminant en -esser à l’infinitif.
Syntaxe :
{{fr-conj-1-esser|préfixe|prononciation du préfixe| Paramètres optionnels}}
Paramètres :
1=préfixe(obligatoire) : ce qui précède la finale en esser.
2=prononciation du préfixe(obligatoire) : prononciation API du préfixe précédent.
Paramètres optionnels spécifiques
amu=oui : si le \ə\ final s’amuït au futur simple et au conditionnel présent (sauf aux deux premières personnes du pluriel dans le cas du conditionnel). Ce paramètre est automatiquement instruit. S’il existe un cas où il ne devrait pas l’être, laissez-nous le savoir sur la page de discussion du modèle.
Paramètres optionnels génériques
Les paramètres suivants sont normalement reconnus par tous les modèles de conjugaison en français.
'=oui : si le verbe commence par une voyelle phonétique.
réfl=oui : si la conjugaison est pronominale réflexive (implique l’auxiliaire être).
réciproque=oui : si le paramètre est donné (toute valeur non vide), les deux premières personnes du singulier et les pronoms il/elle de la troisième sont grisés.
aux-être=oui : si le verbe se conjugue aux temps composés avec l’auxiliaire être plutôt que avoir.
impers=oui : si le verbe est impersonnel mais peut se conjuguer éventuellement au pluriel.
impers.sing=oui : si le verbe est impersonnel et se conjugue uniquement au singulier.
note=texte libre : ajout d’une note après l’introduction.
clé=préfixe ASCII : clé de tri du préfixe pour la catégorisation (par défaut identique au paramètre 1).
Lorsque l’avant-dernière syllabe du radical d’un verbe se termine en « e », certains groupes de consonnes finales (« ll, mm, ss », etc.) donnent la désinence \ɛ\ au lieu de \ə\ (« ch, l, m, s, t », etc. ; par exemple geler, semer). Le Littré donne systématiquement une prononciation en \ɛ\ qui ne change pas avec la syllabe finale (par exemple, voir « adresser », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage). En français européen moderne (comme le Robert l’indique, par exemple), la désinence devient \e\ devant une syllabe finale sonore (il y a quelques exceptions, surtout des verbes relativement récents qui descendent de noms communs, comme par exemple courrieller). En Amérique du Nord, cependant, la plupart des locuteurs préservent la prononciation « ancienne ». Le même phénomène touche les verbes où l’avant-dernière syllabe du radical se termine en « ê » ou parfois en « ai » (avec un plus grand nombre de groupes de consonnes possibles). Voir les exemples à droite.