« flânerie » : différence entre les versions
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'''flânerie''' {{pron|flan.ʁi|fr}} ou {{pron|flɑn.ʁi|fr}} {{f}}
# [[action|Action]] de [[flâner]].
#* ''Un certain vague qu’on a dans l’esprit pousse aux promenades nocturnes et aux '''flâneries''' étoilées ; la jeunesse est une attente mystérieuse ; c’est pourquoi on marche volontiers la nuit, sans but.'' {{source|{{w|Victor Hugo}}, ''[[s:L’Homme qui rit|L’Homme qui rit]]'', J. Hetzel-Quantin, 1869, [[s:L’Homme qui rit/II/3|2{{e}} partie, livre III, chap. 3]]}}
#* ''« La chanson des lèvres a fait place à je ne sais quelle musique mécanique; la '''flânerie''' — ce sourire de la démarche — a cédé le pas à la presse et à l'essoufflement. »'' {{source|[[w:Maurice Bedel|Maurice Bedel]], ''La nouvelle Arcadie'', 1934}}▼
#* ''La principale occupation entre les repas consistait, pour mon ami Vincent Desflemmes, en longues '''flâneries''' par les rues, par les boulevards, par les quais et plus généralement par toutes les artères de la capitale.'' {{source|{{w|Alphonse Allais}}, ''[[s:À se tordre/L’Embrasseur|À se tordre : L’Embrasseur]]'', Paul Ollendorff, 1891, [[s:Page:Allais - À se tordre : histoires chatnoiresques.djvu/109|p. 101]]}}
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#* ''Cette fantasmagorie, où elle apparaît tantôt comme un paysage, tantôt comme une chambre, semble avoir inspiré par la suite le décor des grands magasins, qui mettent ainsi la '''flânerie''' même au service de leur chiffre d’affaires.'' {{source|{{w|Walter Benjamin}}, ''[[s:Paris, capitale du dix-neuvième siècle#D. Baudelaire ou les rues de Paris|Baudelaire ou les rues de Paris]]'' dans ''[[s:Paris, capitale du dix-neuvième siècle|Paris, capitale du XIX{{e}} siècle]]'', 1939}}
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