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::: Si on veut parler vraiment correctement : C'est elles desquelles j'ai pitié ; ou mieux encore Ce sont elles desquelles j'ai pitié ; ce sont eux desquels j'ai pitié [[Utilisateur:Léah 30|Léah 30]] ([[Discussion utilisateur:Léah 30|discussion]]) 20 novembre 2013 à 20:42 (UTC)
::::On peut aussi dire ''c'est elles ''(ou mieux'', ce sont elles, ''avec accord en nombre)'' dont j'ai pitié'', sans différence de sens. La forme ''c'est d'elles dont j'ai pitié'' est à éviter car elle est redondante, le régime indirect étant exprimé à la fois par la préposition ''d(e)'' et le pronom relatif ''dont''. Les forme avec ''dont'' ne sont pas plus incorrectes que celles avec ''duquel'', elles sont synonymes. L'avantage de la première forme est sa brièveté et son invariabilité, ce qui rend la phrase plus légère et débarrasse du problème de l'accord compliqué de ''duquel''. [[Spécial:Contributions/193.54.174.3|193.54.174.3]] 21 novembre 2013 à 15:00 (UTC)
:Il y a deux questions. La première est ''pitié de'' ou ''pitié pour'' ? Réponse : ''de'' si ''pitié'' est employé sans article, ''pour'' sinon. ''J’ai pitié d’elle'' mais ''j’éprouve de la pitié pour elle''. Deuxième question, celle du doublement de la préposition, ''C’est d’elle que'' ou ''c’est d’elle de qui (ou dont)'' ? À ma connaissance, c’est principalement Marivaux qui affectionne la seconde (''C’est à vous à qui je parle, c’est de vous de qui je parle'',…). Je préfère de beaucoup la première. Question subsidiaire : ''C’est elles'' ou ''ce sont elles''. Réponse sous forme d'opinion personnelle : ''Ce sont eux'' date du temps où l'on disait ''ce suis moi'', ''ce sommes nous'', formes qu’en bonne logique ceux qui préfèrent ''ce sont'' à ''c’est'' devraient toujours employer. [[Utilisateur:Pierre Codou|Pierre]] ([[Discussion utilisateur:Pierre Codou|discussion]]) 21 novembre 2013 à 19:53 (UTC)
 
==quel mot se termine par tiée==