« ruthène » : différence entre les versions

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#* ''Le 24 décembre 2012, la Transcarpatie a cependant accordé au '''ruthène''' le statut de langue officielle.'' {{source|Laurent {{pc|Geslin}} et Sébastien {{pc|Gobert}}, « À la recherche de la nation ruthène », ''Le Monde diplomatique'', avril 2013}}
#* ''Aujourd’hui, Aharon Appelfeld est un écrivain israélien qui écrit en hébreu, mais il a commencé par parler une demi-douzaine d’autres langues : l’allemand de ses parents, le yiddish de ses grands-parents, le '''ruthène''' des domestiques, le roumain de l’État.'' {{source|Natalie {{pc|Levisalles}}, « Les silences du jeune Aharon », ''Libération.fr'', 30 septembre 2004}}
#* ''L’enseignement du '''ruthène''' à l’école primaire du village de Muscony a commencé lors de l’année scolaire 1995-96.'' {{source|Conseil de l’Europe, ''Application de la Charte en Hongrie : 2{{e}} cycle de suivi'', 1{{er}} juillet 2004, page 40}}
#* ''Ce développements en Slovaquie ont été rendus possibles en grande partie parce que dans le recensement de mars 1991 réalisé dans l’ancienne République fédérale tchécoslovaque, les Ruthènes ont été recensés comme une nationalité distincte (avec 16 937 répondants), et le '''ruthène''' comme langue maternelle distincte (49 099 répondants).'' {{source|Paul Robert {{pc|Magocsi}}, « Une nouvelle nationalité slave : les Ruthènes de l’Europe du Centre-Est », ''Revue des études slaves'', tome 69, fascicule 3, 1997, page 421}}