« in-folio » : différence entre les versions

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#* ''On n’indique généralement pas le prix des ouvrages importés, mais on spécifie le format du volume : '''in-folio''', in-quarto, in-octavo —format le plus répandu—, in-duodecimo, etc. L’in-folio est généralement réservé aux journaux et aux livres de grande taille ; l’in-quarto, à partir du {{pc|XVII}}{{e}} siècle, est considéré comme le format « littéraire ». Cependant, l’in-octavo et l’in-duodecimo semblent être les préférés des éditeurs européens parce que leur production est économique, surtout tenu compte de la pénurie de papier ''[de l’époque]'', et qu’ils sont faciles à transporter et à manier. On ne rencontre à peu près pas d’annonces de tout petits formats (in-seize, in-dix-huit, in-vingt-quatre).'' {{source|Maurice Lemire, Aurélien Boivin, ''La Vie littéraire au Québec'', 1991}}
 
==== {{S|variantes orthoorthographiques}} ====
* [[infolio]] {{ortho1990}}
 
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#* ''On n’indique généralement pas le prix des ouvrages importés, mais on spécifie le format du volume : in-folio, in-quarto, in-octavo —format le plus répandu—, in-duodecimo, etc. L’'''in-folio''' est généralement réservé aux journaux et aux livres de grande taille ; l’in-quarto, à partir du {{pc|XVII}}{{e}} siècle, est considéré comme le format « littéraire ». Cependant, l’in-octavo et l’in-duodecimo semblent être les préférés des éditeurs européens parce que leur production est économique, surtout tenu compte de la pénurie de papier ''[de l’époque]'', et qu’ils sont faciles à transporter et à manier. On ne rencontre à peu près pas d’annonces de tout petits formats (in-seize, in-dix-huit, in-vingt-quatre).'' {{source|Maurice Lemire, Aurélien Boivin, ''La Vie littéraire au Québec'', 1991}}
 
==== {{S|variantes orthoorthographiques}} ====
* [[infolio]] {{ortho1990}}