« privilège » : différence entre les versions

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# [[faculté|Faculté]] [[accordé]]e à un [[particulier]] ou à une [[communauté]] de [[faire]] [[quelque chose]] ou de [[jouir]] de [[quelque]] [[avantage]] qui n’est pas de [[droit]] [[commun]].
#* ''Le 2 mai 1670, un '''privilège''' fut accordé à la Compagnie des pelleteries de la baie d'Hudson. Cette société comptait un certain nombre d'actionnaires dans la haute noblesse, le duc d'York, le duc d'Albermale, le comte de Shaftesbury, etc.'' {{source|[[w:Jules Verne|Jules Verne]], ''Le Pays des fourrures'', 1873}}
#* ''Hélas! en même temps que la richesse, l'habitude de la distillation du cidre à domicile s'est répandue! L'usage du '''privilège''' des bouilleurs de cru met à la disposition directe des paysans, en quantités immenses, incontrôlables, le poison. Les alambics circulent partout.'' {{source|{{w|Citation/Ludovic Naudeau}}, ''/La France se regarde. Le problème de la natalité'' -/1931}}}}
#* ''Le roi Jean leur confirma, en 1357, leurs '''privilèges''' et, au début du XV{{e}} siècle, leurs armes furent enregistrées à l'armorial général.'' {{source|Marcel Hégelbacher, ''La Parfumerie et la Savonnerie,'' 1924}}
#* ''Le mot de noblesse avait un sens du temps de nos grands-pères, aujourd’hui il n’en a plus; les titres courent les rues, et quant aux '''privilèges''', ce qui nous en reste augmente la misère du peuple, sans nous être d’aucun profit; si nous ne payons pas l’impôt au roi, nous le payons aux exigences d’une position factice, à la mode, à l’usage, à notre oisiveté qui nous oblige souvent de nous ruiner, pour échapper à l’ennui.'' {{source|{{w|Julie de Querangal}}, ''[[s:Philippe de Morvelle|Philippe de Morvelle]]'', Revue des Deux Mondes, T.2,4, 1833}}