« appétence » : différence entre les versions

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# {{par ext}} [[attirance|Attirance]] pour ce qui peut [[satisfaire]] un [[besoin]] ou une [[envie]].
#* ''[...] une femme bien plus jeune que lui, aux '''appétences''' bien au-delà de ses moyens.'' {{source|[[w:Glen Cook|Glen Cook]], ''{{w|Le Château noir}}'', 1984}}
#* ''Il sentait couler dans ses veines toute la sanie des rêves impuissants, des '''appétences''' infécondes, et sur son échine s'appesantissait le fardeau de la résignation et de la timidité.'' {{source|{{w|Citation/Victor Méric}}, ''/Les compagnonsCompagnons de l'Escopette'', l’Escopette/1930, p.|27}}
#* ''Ce faisant, plane la menace du psychologisme : les moins combatifs feraient preuve d’une moindre « '''appétence''' » pour la formation, se laisseraient porter par le fil de l’eau et récolteraient au final les fruits amers de leur désinvestissement.Aussi est-il nécessaire de bien cerner l’origine du « manque d’appétit » apparent de nombreux salariés pour la formation afin de dissiper tout malentendu.'' {{source|Christine Fournier, ''Aux origines de l'inégale appétence des salariés pour la formation'', Céreq, n° 209 juin 2004}}
#* ''Ayant passé d’une débauche presque infantile à la continence absolue datant du jour où il avait pensé au quai d’Orsay et voulu faire une grande carrière, il avait l’air d’une bête en cage, jetant dans tous les sens des regards qui exprimaient la peur, l’'''appétence''' et la stupidité.'' {{source|[[w:Marcel Proust|Marcel Proust]], ''Sodome et Gomorrhe'', in ''À la recherche du temps perdu'', t. III, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1988, p. 44}}