« hostie » : différence entre les versions

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#* ''Le prêtre ouvrit le calice ; il prit entre ses deux doigts une '''hostie''' blanche comme la neige, et s’approcha d’Atala, en prononçant des mots mystérieux.'' {{source|[[w:François-René Chateaubriand|François-René Chateaubriand]], ''Génie du christianisme''}}
#* ''[…], Pâques dont les jeunes filles reçoivent la blanche '''hostie''' et les œufs rouges!'' {{source|[[w:Aloysius Bertrand|Aloysius Bertrand]], ''[[s:Gaspard de la nuit|Gaspard de la nuit]]'', 1842}}
#* ''C'est une messe. […]. Il achève l'offertoire, et je le vois, debout, qui saisit la patène plaquée contre sa poitrine. Un enfant de chœur lui tend, l'une après l'autre, le burettes, cependant que le prêtre dépose l’'''hostie''' sur le corporal.'' {{source|{{Citation/Victor Méric/Les Compagnons de l’Escopette/1930|249}}}}
#* ''Or, le bruit se répandit bientôt que le juif avait jeté l''''hostie''' dans une cuve d'eau bouillante, à la suite de quoi l'eau aurait rougi sans s'altérer. Et l'on assurait que, depuis ce temps, l'enfant Jésus surnageait dans cette eau, sans qu'il fût possible de l'y enfoncer.'' {{source|{{w|Léon Berman}}, ''Histoire des Juifs de France des origines à nos jours'', 1937}}
#* ''Autrefois, et encore aujourd'hui dans certains rites, cela se pratiquait vraiment avec du pain : le pain le plus banal, celui que pétrit le boulanger. Aujourd'hui, chez les catholiques, ce sont ces petites rondelles blanches, à la consistance et au goût de carton, qu'on appelle des '''hosties'''.'' {{source|{{w|Emmanuel Carrère}}, [[w:Le Royaume (récit)|''Le Royaume'']], 2014, p. 102}}