« girouette » : différence entre les versions

: {{date|1501}} ; formeForme féminine de ''girouet'' {{date|1487}}, qui reprend ''guiroué'' d'und’un parler de la Loire, altération de l'ancienl’ancien normand ''[[wirewire#fro|wirewire]], [[wirewite#fro|wirewite]]'' {{date|1160-74}}, emprunt au {{étyl|non|fr|mot=veðrviti}} « girouette »{{réf}} ; sous l'influencel’influence de ''[[girer]]'' et, pour la finale, des mots comme ''rouet'', ''pirouet'' pour le masculin, ''[[rouette]], [[pirouette]]'' pour le féminin.

#* […]''…les les municipalités s’imaginent préserver le caractère de leurs villes en laissant subsister quelques tours vétustes, sans comprendre que l’âme des cités ne perche pas sur les '''girouettes''', mais palpite au sein des rues.'' {{source|[[{{nom w:Pierre Louÿspc|Pierre |Louÿs]}}], ''La villeVille plus belle que le monument'', dans ''Archipel'', 1932}}

# {{figuré|fr}} et {{familier|fr}} [[quelqu'un|Quelqu’un]] qui change souvent d’[[avis]], de [[sentiment]], de [[parti]].''

#* ''Il s’''[...…]agit'' s’agit ici du gouverneur de la ville, le seigneur Hacqueville de Vieux-Pont, digne patron de toutes les '''girouettes''' qui ont tourné en tous sens en France depuis quelques années. Ce brave gentilhomme, qui avait reçu son gouvernement des mains de Henri IV, au moment où la ligue était faible, quitta le roi pour la ligue, dès que celle-ci eut relevé la tête, et ensuite abandonna la ligue pour retourner au roi, dès que ce prince l’eut définitivement vaincue.'' {{source|M. De {{pc|Jouy}}, '' L’hermiteL’Hermite en province, ou Observations sur les moeursmœurs et les usages français au début du XIXèXIX{{ex|è}} siècle'', 1822, page 78}}

# ''Deuxième personne du singulier de l’impératif présent de'' [[girouetter]].

* {{RÉF}} {{R:TLFi}}