« parisine » : différence entre les versions

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#* ''La '''parisine'''! Nestor Roqueplan l’a inventée cette '''parisine''' et nous en avons tous usé. La '''parisine''' c’est l’indéfinissable. Cela ne s’explique guère. Les chimistes du laboratoire municipal nous disent comment on fabrique l’essence de roses, mais ils ne nous donnent jamais l’essence même de la rose. Ainsi de la '''parisine'''. C’est un parfum aspiré dans l’air ambiant de Paris ; c’est une infiltration du sol même du boulevard parisien. Cela est subtil et exquis comme un arôme, cela est empoisonné comme du curare. C’est tout et ce n’est rien. C’est du Paris concentré, de l’extrait de Paris…'' ([[w:Jules Claretie|Jules Claretie]])
#* ''Et la liste ''[des spectacles scéniques proposés sur les grands boulevards à Paris]'' sera close avec le petit théâtre des Capucines, spécialiste en « '''parisine''' »'' {{source|{{w|Henri Duvernois}}, ''Le boulevard'', chapitre III ; Éditions Pierre Lafitte, collection Visages de Paris, Paris, 1927, page 44.}}
# {{vieilli|frm}} parisienne.
#* ''Vauzelles affirme avoir été sauvé du naufrage par une [[afflation|afflation]] de parisine [[orthodoxalité|'''orthodoxalitéparisine''']] orthodoxalité''. {{source|[https://fr.wikisource.org/wiki/Auteur:Jean_de_Vauzelles Jean de {{smcp|Vauzelles}}], ''Théâtre de Françoise désolations sur le Trespas de la Tresauguste Loyse'', 1551, dans ''L’émergence littéraire des femmes à Lyon à la Renaissance 1520 - 1560'', Michèle {{smcp|Clément}}, Janine {{smcp|Incardona}}}}
 
==== {{S|dérivés}} ====