« jésuite » : différence entre les versions

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#* ''Les '''jésuites''' excitèrent la Sorbonne contre Descartes, et l’on demanda la proscription de sa philosophie, d’abord au parlement, qui refusa d’intervenir; ensuite au conseil du roi, qui la proscrivit en effet.'' {{source|Jules Simon, ''Introduction de: « Œuvres de Descartes »'', éd. Charpentier à Paris, 1845}}
#* ''Ma première condamnation est due aux Verdets, des hommes qui s’intitulaient alors pères de la foi, et qui n’étaient autres que ces hideux '''jésuites''' que le Parlement, en 1762, a traité de corrupteurs de la jeunesse.'' {{source|Réponse de M. Raspail père à l’avocat général, lors du procès de {{w|François-Vincent Raspail}} le 12 février 1874}}
#* ''L'essentiel pour les '''jésuites''', c'était d'affaiblir, d'amoindrir, de rendre les âmes faibles et fausses, de faire des petits très-petits, et les simples idiots ; une âme nourrie de minuties, amusées de brimborions, devait être facile à conduire.'' {{source|{{w|Jules Michelet}}, ''Le prêtre, la femme, la famille'', Paris : Chamerot, 1862 (8{{e}} éd.), p.65}}
#* ''[…] ; les gens des hautes classes ont toujours estimé qu’ils avaient moins besoin d’être disciplinés moralement que leurs subordonnés, et c’est pour avoir fait de cette belle découverte la base de leur théologie, que des '''jésuites''' ont tant de succès dans la bourgeoisie contemporaine.'' {{source|{{w|Georges Sorel}}, ''Réflexions sur la violence'', Chapitre VII, ''La morale des producteurs'', 1908, p. 317}}
# {{péjoratif|fr}} [[escobar|Escobar]] ; personnage qui manque de [[franchise]] et de [[sincérité]].