« araire » : différence entre les versions

: Repris, par les historiens du XIX{{esiècle2|XIX}} siècle, à l’{{étyl|oc|fr}}. Le mot existait dans l'ancienl’ancien français sous la forme ''[[{{lien|arère]]|fro}}'' ou ''{{lien|araire|fro}}'' et vient du {{étyl|la|frfro|mot=aratrum}} (« araire »).

{{fr-rég|a.ʁɛʁ}}

'''araire''' {{pron|a.ʁɛʁ|fr}} {{m}}

# {{agri|fr}} [[instrument|Instrument]] [[aratoire]], à bâti symétrique sans versoir, qui fend la terre sans la retourner et dont l'usagel’usage s'ests’est perpétué jusqu'aujusqu’au {{pcsiècle2|xix}}{{eXIX}} siècle dans la moitié sud de la France.

#* ''L’'''araire''', dont les origines remontent à l’Antiquité, est toujours présent en Afrique du Nord, en EthiopieÉthiopie, en Amérique centrale et dans certaines régions d’Asie. Autrefois entièrement en bois, certaines pièces travaillantes sont aujourd’hui en métal. '' —{{source|Philippe ({{smcp|Lhoste Philippe}}, Michel {{smcp|Havard Michel}}, Éric {{smcp|Vall Eric}}, ''La traction animale'', 224 p., page 118, 2010, Quae - Cta - Presses agronomiques de Gembloux), page 118}}

* L'araireL’araire se différencie de la charrue par l'absencel’absence de versoir : contrairement à la charrue qui retourne la terre, l'arairel’araire au soc symétrique l'ouvrel’ouvre simplement.