« bouture » : différence entre les versions

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#* ''Trembley trouvait donc ici deux grands phénomènes, jusque-là regardés comme appartenant exclusivement aux végétaux, la reproduction par '''boutures''' et la multiplication par bourgeons ; mais en même temps il voyait ces prétendues plantes se nourrir à la façon des animaux chasseurs, […].'' {{source|{{w|Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau}}, ''[[s:Les Métamorphoses et la généagénèse/03|Les Métamorphoses et la généagénèse]]'', {{w|Revue des Deux Mondes}}, 2{{e}} période, tome 3, 1856 (pp. 496-519)}}
#* ''Malgré son excessive floribondité, elle donne rarement des graines, et on en est réduit à la multiplier de '''boutures''' et de couchages.'' {{source|''Le Bon jardinier: nouvelle encyclopédie horticole'', p.175, Maison rustique, 1882}}
#* ''La '''bouture''', fragment de végétal apte à donner naissance à un végétal de même nature, reproduit l'individul’individu dont elle dérive avec tous ses caractères.'' {{source|O. Bussard, ''Cultures légumières'', 1943}}
#* ''La vigne, le cognassier, le groseillier, se multiplie facilement par '''boutures'''.'' {{source|Julien-Alexandre Hardy, ''Traité de la taille des arbres fruitiers'', 1884}}
#* ''Pour cela nous allâmes couper une '''bouture''' d’un jeune saule, et nous la plantâmes sur la terrasse, à huit ou dix pieds de l’auguste noyer.'' {{source|[[w:Jean-Jacques Rousseau|Jean-Jacques Rousseau]], ''[[s:Les Confessions (Rousseau) - Livre I|Les Confessions (Rousseau) - Livre I]]''}}