« de deux choses l’une » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
m Révocation des modifications de 80.12.37.78 (discussion) vers la dernière version de Classiccardinal
Ligne 6 :
'''de deux choses l’une''' {{pron|də dø ʃoz l‿yn|fr}}
# Locution employée pour évoquer deux [[possibilité]]s comme les seules possibles, par exemple pour [[inciter]] une personne à faire un [[choix]] et à s’y conformer.
#* ''La raillerie et la plaisanterie naissent d’une fausse opinion et manifestent une imperfection soit dans le railleur, soit dans le raillé. […]. Elles supposent une imperfection dans le moqueur, car '''de deux choses l’une''' : ou la chose dont il se moque mérite la raillerie, ou elle ne la mérite pas ; si elle ne la mérite pas, c’est évidemment un travers de railler ce qui n’est pas à railler ; si elle la mérite, c’est donc que le railleur reconnaît dans sa victime une imperfection quelconque ; mais alors ce n’est pas par la raillerie, mais par de bons conseils, qu’on doit chercher à le corriger.'' {{source|{{w|Baruch Spinoza}}, ''[[s:Court Traité/Seconde partie/Chapitre XI|Court traité sur Dieu, l’homme et la béatitude]]'', traduction Paul Janet,, éd Germer Baillière, 1878, chap. 11, p. 79.}}
#* '''''De deux choses l'une''' : ou bien il fera froid ou il ne fera pas froid... S'il fait froid, '''de deux choses l'une''': ou on le supporte ou on ne le supporte pas... Si on ne le supporte pas, '''de deux choses l'une''' : ou on va à Nice ou on n'y va pas.'' {{source|{{w|Pierre Dac}}, ''L'Os à moelle: Organe officiel des loufoques'', n°19 du vendredi 16 septembre 1938, rééd. 2009, p.277}}