« proxénète » : différence entre les versions

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Traductions : +japonais : ポン引き (assisté)
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== {{langue|fr}} ==
=== {{S|étymologie}} ===
: {{date|lang=fr|1521}} Du {{étyl|la|fr|mot=proxeneta|sens=courtier, entremetteur, proxénète}}. Ce mot désigne au départ un entremetteur dans une affaire commerciale. À partir de la fin du XVII{{e|e}} siècle, le sens se spécialise dans l'entremise des mariages et rendez-vous galants.
 
=== {{S|nom|fr}} ===
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'''proxénète''' {{pron|pʁɔk.se.nɛt|fr}} {{mf}}
# Personne qui [[tirer profit|tire profit]] de la [[prostitution]] d’autrui ou bien la [[favoriser|favorise]].
#* ''Les scandales des procès des '''proxénètes''' belges ont montré que ce règlement parfait avait bien quelques inconvénients.'' {{source|{{w|Yves Guyot}}, ''La Prostitution'', 1882}}
#* ''Sans doute, comme il le disait à Odette, il aimait la sincérité, mais il l’aimait comme une '''proxénète''' pouvant le tenir au courant de la vie de sa maîtresse.'' {{source|{{nom w pc|Marcel|Proust}}, ''{{w|À la recherche du temps perdu}}'', ''{{w|Du côté de chez Swann}}'', 1913, {{w|Éditions Gallimard}}, Folio n°1924, 1987, page 354}}
#* ''En fait, il est établi que les « candidates » étaient placées au « pouf » par des '''proxénètes''' exerçant entre Belgique et Méditerranée. Et la gérante du foyer, qui conservait 2 francs par jeton pour ses frais de gestion, envoyait régulièrement à ces messieurs — ou à leur « boîte aux lettres » — les mandats résultant du labeur de ces dames.'' {{source|''{{w|Le Monde}}: les grands procès, 1944-2010'', sous la direction de Pascale Robert-Diard & ‎Didier Rioux, éd. Les Arènes, 2009, p. 258}}
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*{{R:TLFi}}
*{{Import:DAF8}}
 
{{clé de tri|proxenete}}