« flânerie » : différence entre les versions

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# [[action|Action]] de [[flâner]].
#* ''Un certain vague qu’on a dans l’esprit pousse aux promenades nocturnes et aux '''flâneries''' étoilées ; la jeunesse est une attente mystérieuse ; c’est pourquoi on marche volontiers la nuit, sans but.'' {{source|{{w|Victor Hugo}}, ''[[s:L’Homme qui rit|L’Homme qui rit]]'', J. Hetzel-Quantin, 1869, [[s:L’Homme qui rit/II/3|2{{e}} partie, livre III, chap. 3]]}}
#* ''Dans une de ses (Gavroche) précédentes '''flâneries''', il avait remarqué là un vieux homme et d’une vieillie dame, et dans ce jardin un pommier passable. [...] '' {{source|{{w|Victor Hugo}}, ''[[s:Les Misérables]]'', 1862, [[s:Les Misérables tome IV, livre IV chap. 2]]}}
#* ''La principale occupation entre les repas consistait, pour mon ami Vincent Desflemmes, en longues '''flâneries''' par les rues, par les boulevards, par les quais et plus généralement par toutes les artères de la capitale.'' {{source|{{w|Alphonse Allais}}, ''[[s:À se tordre/L’Embrasseur|À se tordre : L’Embrasseur]]'', Paul Ollendorff, 1891, [[s:Page:Allais - À se tordre : histoires chatnoiresques.djvu/109|p. 101]]}}
#* ''La chanson des lèvres a fait place à je ne sais quelle musique mécanique; la '''flânerie''' — ce sourire de la démarche — a cédé le pas à la presse et à l'essoufflement.'' {{source|{{w|Maurice Bedel}}, ''La nouvelle Arcadie'', 1934}}