« prêle » : différence entre les versions

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# {{botanique|nocat}} [[plante|Plante]] [[cryptogame]] à [[tige]] [[strié]]e et [[rude]] au [[toucher]], munie de [[rameau]]x [[grêle]]s, à petites feuilles [[écailleuse]]s, disposées en [[collerette]] sur des [[nœud]]s à intervalles réguliers, à [[sporange]]s groupés en [[épi]] terminal, dont certaines espèces sont utilisées pour leurs propriétés [[astringent]]e, [[hémostatique]] ou [[diurétique]] et que l’on trouve dans les [[lieux]] [[humide]]s.
#* ''Valentine … sommeillait à demi, cachée, à ce qu'elle croyait, par les hautes tiges de la '''prêle''' de rivière.'' {{source|{{w|George Sand}}, ''{{w|Valentine (roman)|Valentine}}'', 1832}}
#* ''De chaque côté, à droite, à gauche, des étangs sont là, qui communiquent avec le ruisseau par de minces canaux engorgés d’herbes aquatiques, des canaux où parfois les brochets s’engagent. On les voit naviguer dans le fouillis des [[lentille d’eau|lentilles d’eau]], des '''prêles''', des [[cardamine]]s, des [[cirse]]s, flore touffue et mystérieuse, qui reste vivace et verte malgré l’hiver.'' {{source|{{w|Pierre Benoit}}, ''Mademoiselle de la Ferté'', Albin Michel, 1923, Cercle du Bibliophile, page 141.}}
# ''L’herbe à coton, l’élégante linaigrette, semait ses houppes soyeuses, les bourgeons précoces de l’airelle bleue des marais pointaient ça et là. Les '''prêles''' dressaient leurs épis bruns au cœur même du tapis de sphaignes.'' {{source|Line Hesser, '« 'La souche bavarde'' », dans ''Nouvelles d'autres mondes'', Éditions Naturellement (Collection Fictions), 1990}}