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: (''[[#fr-nom-2|Nom commun 2]]'') [[substantivation|Substantivation]] de l’adjectif.(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.