« abricot » : différence entre les versions

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: (''[[#fr-nom-1|Nom commun 1]]'') {{siècle|XVI}} Le mot est passé du [[latin]] au [[français]] via le [[grec ancien]], l’[[arabe]], l’[[espagnol]] et le [[catalan]]. Les Romains le nommaient ''praecoquum'', c’est-à-dire « (le fruit) [[précoce]] ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme {{polytonique|[[πραικόκιον]]|praikókion}}. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme [[ألبرقوق|أَلْبَرْقُوق]] ''ʾāl-barqwq'' (étant donné qu’il n’y a pas de son {{pron|p|fr}} en arabe, celui-ci a été remplacé par {{pron|b|fr}}, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme ''[[albaricoque]]'' en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme ''[[albercoc]]''. {{R|MAKKI}}. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
: (''[[#fr-adj|Adjectif]]'') {{siècle|XIX}} Formé par une [[métonymie]] de ''abricot'' en lien avec la couleur du fruit.
: (''[[#fr-nom-2|Nom commun 2]]'') [[substantivation|Substantivation]] de l’adjectif.
: (''[[#fr-nom-2|Nom commun 2]]'') [[substantivation|Substantivation]] de l’adjectif.(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Formv
 
=== {{S|nom|fr|num=1}} ===
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#* « ''Quant un moribond l’appelait<br>Narguant la mort à son chevet<br>Elle la collait comme un défi<br>La bouche édentée de l’ancêtre<br>À son '''abricot''' en folie<br>Et le papi était guéri.'' » {{source|{{w|Pierre Perret}}, ''La belle fermière'', ''Chansons éroticoquines'' (2002)}}
 
==== {{Slèche mon derch pépé :pS|synonymes}} ====
; Fruit de l’abricotier (1)
* [[aubercot]] {{désuet|nocat=1}}
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* {{cf|lang=fr|vulve}} et ses nombreuses autres appellations imagées
 
==== {{S|dérivé du serx.comdérivés}} ====
* [[abricotage]]
* [[abricot-pêche]]
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* [[abricot-pays]] {{Antilles|nocat=1}}
 
==== {{S|c mo,n eu nike ta mere ^^traductions}} ====
{{trad-début|Fruit}}
* {{T|af}} : {{trad+|af|appelkoos}}
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{{voir thésaurus|fr|abricot|fruit|amande|savon|séchage}}
 
==== {{S|porn.hubhyponymes}} ====
* [[paviot]]
* [[rosé]]
<!--- Variétés d’abricots; cf. http://www.elwatan.com/spip.php?page=article_print&id_article=44894 --->
 
==== {{S|homophobieholonymes}} ====
* [[nappage blond]]
* [[nappage blond(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
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(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form(Nom commun 1) (XVIe siècle) Le mot est passé du latin au français via le grec ancien, l’arabe, l’espagnol et le catalan. Les Romains le nommaient praecoquum, c’est-à-dire « (le fruit) précoce ». Les Grecs l’empruntèrent aux Romains sous la forme πραικόκιον, praikókion. Les Arabes l’empruntèrent aux Grecs sous la forme أَلْبَرْقُوق ʾāl-barqwq (étant donné qu’il n’y a pas de son \p\ en arabe, celui-ci a été remplacé par \b\, qui en est le son le plus proche.) Les Espagnols l’empruntèrent aux Arabes sous la forme albaricoque en agglutinant l’article défini au substantif et les Catalans sous la forme albercoc. [1]. La forme française vient de l'emprunt espagnol ou portugais.
(Adjectif) (XIXe siècle) Form]]
 
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