« Modèle:note-féminisation » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Ligne 1 :
La [[w:Féminisation des noms de métiers en français|féminisation des noms de métiers]] est un sujet débattu dans la francophonie :
* l’Office québécois de la Langue française fournit des [http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?Th=1&Th_id=274 banques de dépannage linguistiques] pour la rédaction féminisée et [[épicène]] (1979) ;
* En Belgique, le gouvernement de la Communauté francophone (Fédération Wallonie-Bruxelles) a publié un arrêté établissant les règles de féminisation<ref>''[http://www.lettresetlivre.cfwb.be/index.php?id=62 Arrêté du Gouvernement de la Communauté française établissant les règles de féminisation des noms de métier, fonction, grade ou titre]'', Fédération Wallonie-Bruxelles, 1993</ref>. Un guide de féminisation publié par la Communauté française (Fédération Wallonie-Bruxelles) existe également<ref>« [http://www.languefrancaise.cfwb.be/index.php?eID=tx_nawsecuredl&u=0&g=0&hash=ba73a928942b8eddaa12271d0f76165f4b539531&file=fileadmin/sites/sgll/upload/lf_super_editor/publicat/collection-guide/interieur_FWB_brochure_Fem_light.pdf Mettre au féminin – Guide de féminisation des noms de métier, fonction, grade ou titre] », Fédération Wallonie-Bruxelles, {{3e|édition}}, 2014.</ref> ;
* la Suisse romande consigne ses recommandations dans [http://homepage.hispeed.ch/theresemoreau/feminisationenhelvetie.htm La féminisation en Romandie] (1988) ;
* le Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles édite le guide [http://www.languefrancaise.cfwb.be/index.php?eID=tx_nawsecuredl&u=0&g=0&hash=ba73a928942b8eddaa12271d0f76165f4b539531&file=fileadmin/sites/sgll/upload/lf_super_editor/publicat/collection-guide/interieur_FWB_brochure_Fem_light.pdf Mettre au féminin] (2014) ;
* En France, le Gouvernement considère que la féminisation des noms de métiers doit être encouragée dans les administrations et établissements publics depuis 1986<ref>[https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000556183 Circulaire du 6 mars 1998 relative à la féminisation des noms de métier, fonction, grade ou titre], Journal officiel de la République française, 1998</ref>. De son côté, si l’Académie française a condamné en 2002 la plupart de ces féminisations et ne recommandait pas leur utilisation<ref>L’Académie française, [http://archive.is/http://www.academie-francaise.fr/actualites/feminisation-des-noms-de-metiers-fonctions-grades-et-titres ''Féminisation des noms de métiers, fonctions, grades et titres''], 2002</ref><ref>L’Académie française, [http://www.academie-francaise.fr/la-langue-francaise/le-francais-aujourdhui Le français aujourd’hui], paragraphe ''La féminisation des noms de métiers, fonctions, grades ou titres : controverse''</ref>, elle adopte un rapport en 2019 énonçant qu'il n'existe aucun obstacle de principe à la féminisation des noms de métiers et de professions<ref>L’Académie française, [http://www.academie-francaise.fr/actualites/la-feminisation-des-noms-de-metiers-et-de-fonctions ''La féminisation des noms de métiers et de fonctions''], 2019</ref> ;
 
* Au Québec, l’Office québécois de la langue française encourage l’utilisation de forme féminine pour les noms de métiers<ref>''[http://bdl.oqlf.gouv.qc.ca/bdl/gabarit_bdl.asp?id=4015 Questions fréquentes sur la féminisation]'', Office québécois de la langue française, 2002</ref> ;
* En Suisse, le canton de Genève a voté un règlement en faveur de l’usage des formes féminines des noms de métiers<ref>[https://www.ge.ch/legislation/rsg/f/rsg_b5_05p11.html B 2 05.13 : ''Règlement relatif à l’usage de la forme féminine des noms de métier, de fonction, de grade ou de titre dans les actes officiels'' (RFém)], Genève, 1989</ref>.
 
L'avis des grammairiens est parfois différent. [[w:Maurice Grevisse|Grevisse]] consacre un chapitre à la féminisation dans ''[https://books.google.fr/books?id=g1JxDwAAQBAJ&pg=PA513 Le Petit Bon usage de la langue française]'', par {{nom w pc|Maurice|Grevisse}}, Cédrick {{smcp|Fairon}} et Anne-Catherine {{smcp|Simon}}, De Boeck Supérieur, 2018, page 513.<noinclude>