« échec » : différence entre les versions
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# {{par ext}} [[revers|Revers]] [[momentané]] dans une [[entreprise]].
#* ''Carcassonne était la place centrale des opérations entreprises contre l’armée aragonaise et un refuge assuré en cas d’'''échec'''.'' {{source|{{w|Eugène Viollet-le-Duc}}, ''[[s:La Cité de Carcassonne/éd. 1888/Histoire|La Cité de Carcassonne]], 1888''}}
#* ''Si la réussite d'un pétanquiste chevronné est imputable à sa capacité technique, il en va autrement de l’'''échec'''. Celui-ci est attribué à des causes extérieures au joueur, qui pour l'expliquer invoque la « déveine ».'' {{source|Hélène Vouhé, « ''Le métal, ça s'travaille : La pétanque, ou comment la technique transforme un monde régi par la chance'' », dans ''Jeux rituels: dédiés à la mémoire d'{{w|Éric de Dampierre}} et en hommage à sa vision de la recherche'', Paris : Centre d'études mongoles & sibériennes/ Librairie C. Klincksieck, 2000, p. 358}}
#* ''Ainsi, la volonté de correction des premières années, face aux '''échecs''' répétitifs maintes fois constatés d’hommes idémistes, se trouve noyée dans l’inertie. Paris dicte à Cayenne des mesures qui témoignent de sa souveraineté, et reflète aussi la méconnaissance de la réalité.'' {{source|Marion F. Godfroy, ''Bagnards'', éd. Tallandier, 2008, page 18}}
#* ''Je semble défier la mort et pourtant je ne peux protéger les corps meurtris. Les soldats vont encore être obligés de faire des sacrifices pour un résultat plus qu'incertain, probablement un '''échec'''.'' {{source|Jean-Louis Riguet, ''Aristide, la butte meurtrie (Vauquois 1914-1918)'', Éditions Dédicaces, 2014}}
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