« porteresse » : différence entre les versions

#* ''Comme notre chère et bien-aimée Marguerite de Gau […] nous a fait remontrer que depuis certain temps en çà, vacant ladite abbaye des moniales de Levignac par le trépas de Sœur Antoinette de Mons, dite de Pelot, dernière & paisible '''porteresse''' d’icelle, il nous auroit plu […] la nommer & présenter à N. S. P. le Pape pour […] être pourvue de ladite abbaye des moniales de Levignac, & lui être octroyé & expédié, à notredite nomination, telles bulles & dispenses qui pour ce seroient nécessaires ; mais pour ce que depuis l’expédition de notredite nomination, la guerre seroit survenue, & qu’à cette occasion, avons fait faire défenses générales de n’aller ou envoyer durant ladite guerre en cour de Rome, & qu’à cette cause elle ne pourra de long temps obtenir ladite provision, elle nous auroit, afin que par faute de pastoresse & administratrice en ladite abbaye, les revenus & édifices d’icelle ne tombent en ruine & décadence, fait supplier & requérir que notre plaisir fût y vouloir pourvoir de telle économe et administratrice que verrions être à faire.'' {{source|Lettre patente du roi Henri II du 8 novembre 1551, ''Recueil des actes, titres et mémoires concernant les affaires du clergé de France, augmenté d’un grand nombre de pièces & d’observations sur la discipline présente de l’Église'', tome XI, G. Desprez, Paris, 1770, colonnes 97 à 98}}

# {{désuet|fr}} Ouvrière qui amassait le sel en [[mulon]].

#* ''Elles ont en outre le sel blanc (environ 80 kilogrammes par œillets) qui représente une somme à peu près égale. C'est donc 160 environ qui sont l'unité ordinaire, soit 80 francs par '''porteresse'''.'' {{source|''La Revue scientifique de la France et de l'étranger'', 6ème année, 1er semestre,Éd. Germer - Baillière, 1876}}