« allée qui traboule » : différence entre les versions

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Version du 29 novembre 2019 à 22:15

Français

Étymologie

(1875) Voir allée et traboule. Au XIXe siècle, cette locution était la seule forme (défective) sous laquelle le verbe trabouler était employé.

Locution nominale

Singulier Pluriel
allée qui traboule allées qui traboulent
\a.le ki tʁa.bul\

allée qui traboule \a.le ki tʁa.bul\ féminin

  1. (Lyon) Traboule.
    • La rue Saint-Dominique — ouverte en 1562 par le fameux baron des Adrets, lors de l’occupation de Lyon par les Protestants — n’a eu longtemps d’autre débouché sur la place des Célestins qu’un petit passage obscur, une allée de traverse ou, comme disait l’ancien patois lyonnais, « une allée qui traboule ». Cette allée était reliée à la place des Célestins par la rue Saint-Louis, rue fort peu connue, qui va de la rue Pazzi à la rue d’Amboise. — (Chronique : Lyon et le Rhône, Le Salut Public, premier décembre 1875, page 2)
    • — Venez, dit-il, vous sortirez dans la cour, et par les allées qui traboulent, vous pourrez aller jusqu’à la ruelle du Bât-d’Argent où se trouvent les chevaux de la poste... — (Léon RiotorLe modèle nom w pc est désuet. Supprimez-le de cette ligne, ou remplacez-le par le modèle w si un lien vers Wikipédia est nécessaire., Lyon. Guignol et les canuts lyonnais, Pierre Roger, 1931, pages 10-11)

Variantes

Synonymes

Vocabulaire apparenté par le sens

Références