« gai comme le canal » : différence entre les versions

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#* ''— C'est vrai, soupira Marie-Rose, ça va nous faire des repas de famille '''gais comme le canal'''.'' {{source|Jean d'Espinoy, ''Une journée sans histoires'', BoD/Books on Demand, 2016, p. 74}}
#* ''Je peux te dire que celle-là, elle est '''gaie comme le canal'''. Remarque, elle a ses raisons, quand tu connais son mari, tu imagines que ce ne doit pas être le 14 juillet tous les soirs à la maison.'' {{source|Max Barteam, ''Balles perdues à Moliets'', Éditions Cairn, 2016}}
#* ''Per Petterson, nous avait séduits avec « Pas facile de voler des chevaux », un récit pudique sur la relation entre un fils et son père, dont il donne cette fois le pendant père-mère. « Maudit soit le fleuve du temps » est '''gai comme le canal''' ! Et pourtant, quelle finesse dans le déroulé de ces vies étriquées ou ratées, […].'' {{source|« ''Maudit soit le fleuve du temps'', de Per Petterson », sur le site de la ''Librairie Graffiti'' à Waterloo (www.librairiegraffiti.be), non daté, consulté le 06/12/209}}
 
 
==== {{S|antonymes}} ====