« collapsologie » : différence entre les versions

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#* ''Car un nombre croissant d’auteurs, de scientifiques et d’institutions annoncent la fin de la civilisation industrielle, telle qu’elle s’est constituée depuis plus de deux siècles. Pablo Servigne et Raphaël Stevens, en décortiquant les ressorts d’un possible effondrement et cela grâce à un tour d’horizon interdisciplinaire sur ce sujet, se proposent de nommer « '''collapsologie''' » cette analyse.'' {{source|{{Lien web |auteur=Stéphane Deligeorges |url=https://www.franceculture.fr/emissions/continent-sciences/et-si-l-effondrement-etait-l-horizon-de-notre-generation |titre=Et si l’effondrement était l’horizon de notre génération? |site=franceculture.fr |éditeur=Radio France |en ligne le=23 novembre 2015 |consulté le=4 novembre 2017}}}}
#* ''En avril 2015, à la sortie de notre livre ''Comment tout peut s'effondrer'' , nous n'imaginions pas que nous toucherions tant de personnes et de média en si peu de temps. […]. Le principal intérêt du livre était de montrer que c'était bel et bien une réalité. Il donnait aussi au lecteur quelques éléments pour pouvoir appréhender ce nouvel avenir avec le plus de sérénité et de sérieux possible. La « '''collapsologie''' » était née.'' {{source|Renaud Duterme, ''De quoi l’effondrement est-il le nom ? : La fragmentation du monde'', Éditions Utopia, 2018, page 22}}
#* ''« '''Collapsologie''' » faisait partie des dix vocables soumis au vote de ses lecteurs par le quotidien belge ''Le Soir'' pour déterminer « le mot de l'année 2018 ».'' {{source|''[[w:Nuit blanche (revue)|Nuit blanche]]'', n° 157, hiver 2020, p. 39}}
 
==== {{S|synonymes}} ====