« toyer » : différence entre les versions
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'''toyer''' {{pron|tɔ.je|fr}} {{t|fr}} {{conj|grp=1|fr}}
# Indiquer qu’on juge un [[tag]] indigne, par exemple en y inscrivant TOY (abréviation de ''Tag on your shit'').
#* ''Car se faire '''toyer''' un graffiti signifie aussi se faire recouvrir par un autre artiste.'' {{source|journal ''20 minutes'', 19 septembre 2016, page 16}}▼
#* ''Ils se font rappeler à l’ordre et se font « '''toyer''' » leur graffitis.'' {{source|site Anny Bloch, ''Les façades de la désobéissance'', in ''Revue des sciences sociales'', n° 29, 2002, page 96}}
#* ''Leur spécialité : '''toyer''', c'est à dire repasser tous les graffs qu'ils voient.'' {{source|site www.allcityblog.fr, 10 septembre 2012}}
#* ''Ils rêvaient de la pièce la plus difficile et la plus enviée de tout graffeur, où qu’il soit dans le monde : le flanc d’un wagon de métro. Ou, à défaut et pour le moment, de '''toyer''' le tag d’un des grands : Tito7, Snow, Rafita ou Typhoon, par exemple.'' {{source|1={{w|Arturo Pérez-Reverte}} (traduit par {{w|François Maspero}}), ''La Patience du franc-tireur'', [https://books.google.fr/books?id=RoagBAAAQBAJ&pg=PT5&dq=%22toyer+le+tag%22 prologue (« Dans la ville »), page 5]. Éd. du Seuil, 2014. Note : dans la version originale en espagnol, l'auteur employait le verbe [[pisar#es-berb|pisar]], dans son acception « piétiner », utilisée sous une forme figurée.}}
▲#* ''Car se faire '''toyer''' un graffiti signifie aussi se faire recouvrir par un autre artiste.'' {{source|journal ''20 minutes'', 19 septembre 2016, page 16}}
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