« fait-diversier » : différence entre les versions

'''fait-diversier''' {{pron|fɛ.di.vɛʁ.sje|fr}} {{m}} {{équiv-pour|une femme|fait-diversière}}

#* ''Il entrait en qualité de «  '''fait-diversier'''  » dans un quotidien de Marseille, moyennant quatre-vingt-dix francs par mois.'' {{source|{{Citation/Victor Méric/Les Compagnons de l’Escopette/1930|26}}}}

#* ''Son traitement, sa couverture médiatique pourront être assuré par un '''fait-diversier''', journaliste en charge des faits-divers, un enquêteur spécialisé dans les affaires politico-financières ou un chroniqueur judiciaire.'' {{source|Alexandrine {{pc|Civard-Racinais}}, ''Le journaliste, l'avocatl’avocat et le jugejuge : les coulisses d'une relation ambigüe'', 2003, page 34}}

#* ''À quoi servent les faits divers divers ? […]. En règle générale , à faire du très mauvais journalisme, caressant le lecteur dans ses pulsions malsaines quitte à pulvériser les lignes jaunes du métier métier : des «  '''fait-diversiers'''  » à l’ancienne aux voyous de l'empirel’empire Murdoch, les mœurs n'ont pas changé, seules les technologies évoluent.'' {{source|{{nom w pc|Nicolas |Demorand}}, ''Trouble'', dans {{w|Libération (journal)}}, n°{{numéro|9535}}, 7 & 8 janvier 2012, p.page 3}}