« sveltesse » : différence entre les versions

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# [[caractère|Caractère]] de ce qui est [[svelte]].
#* ''Le vieux Jean-Claude avait eu son enfance bercée au récit des légendes de la Vouivre, […]. Sa grand’mère lui avait affirmé […] l’avoir vue de ses propre yeux, les soirs de clair de lune et les nuits d’étoiles, promener par les près humides de la Moraie sa '''sveltesse''' robuste de serpent ailé.'' {{source|{{w|Louis Pergaud}}, ''L’assassinat de la Vouivre'', dans ''Les Rustiques'', éd. 1930}}
#* ''Elle estime pouvoir manger de tout et à volonté sans attenter à sa '''sveltesse'''.'' {{source|Philippe {{pc|Delaroche}}, ''Caïn et Abel avaient un frère'', Éditions de l'Olivier / Le Seuil, 2000, p.page 302}}
#* ''Il y a un grand plaisir à lire les amers. Léautaud, Renard, Cioran, Pessoa. Ils sont tellement négatifs, sur eux-mêmes et sur les autres, et sur la farce d’être là. Ils écrivent très juste, très sec, et la '''sveltesse''' de leur phrase est comme une évidence : ils ont raison. Avec eux, on se sent à l’abri. Rien ne peut faire mal, puisque tout fait mal.'' {{source|{{w|Philippe Delerm}}, ''Le trottoir au soleil'', Gallimard, 2011, collection Folio, page 77}}
 
==== {{S|traductions}} ====