« conte moral » : différence entre les versions
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#* ''Les '''contes moraux''' de Marmontel.''{{réf|1}}
#* ''La pensée maîtresse de ce '''conte moral''' n’en est que plus remarquable, car il préconise des sentiments de charité et de simplicité de cœur […]'' {{source|Antony Landes, ''Contes et légendes annamites'', 1886, [[s:Contes et légendes annamites/Légendes/115 Père à vendre|CXV: « Père à vendre »]], note 1}}
#* ''Puis, la vocation littéraire s’allumant tout à coup en lui, comme une torche, il écrit « Guillaume le Tisserand », '''conte moral''' qui fit pleurer des familles, assure-t-on.'' {{source|Léon Bloy, ''Le Désespéré'', A. Soirat, 1886, [[s:Le Désespéré/66|LXVI]] « ''L’hermaphrodite Prussien Albert Wolff'' »}}
#* ''Car, si moi-même suis homme très vicieux, je puis cependant vous dire un '''conte moral''' que j’ai accoutumé de prêcher, pour le gain. '' {{source|Geoffrey Chaucer, 1478, ''Les Contes de Canterbury'' - Traduction française
#* ''Ce livre, […], est un '''conte moral''' dans lequel l’auteur suppose que la Nature lui apparaît en songe, pour se plaindre de la dépravation qui règne parmi les hommes […]'' {{source|Pierre de Ram, ''Biographie nationale de Belgique'', « [[s:Biographie nationale de Belgique/Tome 1/ALAIN DE LILLE|Alain de Lille]] », ''10°, Liber de plancia naturæ, contra Sodomiæ vitium''}}
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