« frérot » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
→‎Français : étymologie, définitions, citations
Ligne 11 :
#* ''Elle veut obliger Jacques à chanter la romance du Triste Chevalier. Mais le '''frérot''' résiste, se fâche. Déjà se lève en lui l’orgueil d’un petit homme'' [...] {{source|''La Lecture, magazine littéraire : romans, contes, nouvelles'', volume 35, 1896, page 195}}
# {{lexique|catholicisme|fr}} {{péjoratif|fr}} [[religieux|Religieux]] sans importance, [[moinillon]].
#* ''C’est chose vilaine & deshonneste, qu’un peuple si fort & constant, induit seulement par un petit '''frerot''' de moine , se revolte de la religion laquelle Christ & les Apostres nous ont baillée,'' [...] {{source|{{nom w pc|Johannes|Sleidanus}}, ''Histoire de l’estat de la religion et république sous l’empereur Charles V'', chez Jean Crespin et Nicolas Barbier, 1557, page 44}}
## {{en particulier|fr}} Nom donné aux [[franciscain]]s qui s’étaient [[émanciper|émancipés]] des règles édictées par {{w|François d’Assise}}.
# {{Algérie|fr}} {{familier|fr}}, {{péjoratif|fr}} Membre ou partisan des {{w|Frères musulmans}}.
#* ''Ce refus de prendre parti de la part de la population s’explique aussi par le fait que la fracture passe à l’intérieur des familles : chacune d’elles a son « flic » et son « '''frérot''' ».'' {{source|Rémy Leveau (dir.), ''L’Algérie dans la guerre'', Complexe, Bruxelles, 1995, page 149}}
#* ''- Brahim Boudar a été l’un des principaux artisans d’octobre 1988. A incendié les Galeries algériennes à Kouba, les souks El-Fellah de Chéraga et Boufarik.<br>- Il était '''frérot''', à l’époque ?'' {{source|{{nom w pc|Yasmina|Khadra}}, ''Morituri'', éditions Baleine, 1997, page 73}}
#* ''L’ennemi juré du '''frérot''', du barbu et donc de ces bombes ambulantes que sont les désespérados montés au maquis.'' {{source|{{nom w pc|Hinde|Taarji}}, ''30 jours en Algérie, journal d’une Marocaine'', Eddif, Casablanca, 1998, page 109}}