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'''langue''' {{pron|lɑ̃ɡ|fr}} {{f}}
# {{lexique|anatomie|fr}} [[organe|Organe]] [[musculaire]] [[charnu]] et [[mobile]], situé à l’intérieur de la [[bouche]], et permettant de [[percevoir]] le [[sens]] du [[goût]] et d’[[articuler]] certains sons.
#* ''Elle saisit le feuillage d’une façon très-singulière, faisant sortihdrisortir pour cet effet une '''langue''' longue, rugueuse, très-étroite et noire, en l’entortillant autour de l’objet qu’elle convoîte.'' {{source|{{nom w pc|Étienne Geoffroy|Saint-Hilaire}}, ''{{ws|Quelques Considérations sur la Girafe}}'', 1827}}
 
 
 
r pour cet effet une '''langue''' longue, rugueuse, très-étroite et noire, en l’entortillant autour de l’objet qu’elle convoîte.'' {{source|{{nom w pc|Étienne Geoffroy|Saint-Hilaire}}, ''{{ws|Quelques Considérations sur la Girafe}}'', 1827}}
#* ''Elles étaient là, dévotement alignées, et à genoux, baissant la tête, tenant la nappe à deux mains. Melle Lerondeau, bien qu’elle eût soixante-dix an et fût un peu bavarde, était une bonne personne. Elle avait une jolie '''langue''' de jeune fille. Les dames Leboucher qui ne se mêlaient jamais à toutes les conversations que l’on peut tenir sur les gens, montraient de leur '''langue''' tout juste ce qu’il en faut pour communier. Les autres dames avaient d’assez belles '''langues''', des '''langues''' de femme, à la vérité, un peu pointues. Mais la '''langue''' de Mme Béchangris était rouge, épaisse, rugueuse et, malgré vous, faisait penser à un caillou.'' {{source|{{nom w pc|Charles-Louis|Philippe}}, ''Dans la petite ville'', 1910, réédition Plein Chant, pages 58-59}}
#* ''La '''langue''', sèche et rouge, devient souvent fuligineuse, c’est-à-dire qu’elle se couvre d’un enduit couleur de suie.'' {{source|{{nom w pc|Jules|Guiard}}, ''Les Parasites inoculateurs de maladies'', Flammarion, Paris, 1918, p. 293}}