« afféterie » : différence entre les versions

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# [[manière|Manière]] [[précieux|précieuse]] de [[parler]] ou d’[[agir]].
#* ''Plus tard, beaucoup plus tard, c’est une femme, une très belle femme, — la seule que je connaisse à parler encore naturellement, sans affectation ni '''afféterie''', le parigot populaire, idiome inventif, plein d’humour et de trouvailles langagières — qui emploiera devant moi ces expressions désignant la chance : « T’as le cul bordé de médailles ! », ou, encore plus étrange, plus ordurier aussi, « T’as le cul bordé de nouilles ! »'' {{source|{{w|Jorge Semprún}}, ''[[w:Le Mort qu'il faut|Le Mort qu’il faut]]'', 2001, p. 170}}
#* ''Employer le pluriel italien ne se fait plus guère, c’est plutôt de l’'''afféterie'''.''{{source|Le Monde, ''Tous les scénarii sont sur la table'', 2021|lien=https://www.lemonde.fr/blog/correcteurs/2021/01/24/tous-les-scenarii-sont-sur-la-table/}}
#* ''Il y a trop d’'''afféterie''' dans tout ce qu’elle fait.''
#* ''Les '''afféteries''' d’une coquette, d’une précieuse.''
#* ''Je pouvais être ravie par la vivacité de son sourire intelligent, la forme de ses yeux de chevreuil, un port de tête exceptionnellement fier, éloigné de l’'''afféterie'''.'' {{source|{{w|Colette}}, ''Le képi'', Fayard, 1943 ; éd. Le Livre de Poche, 1968, p. 13.}}
#* ''L’'''afféterie''' du style.''