« Φίλιπποι » : différence entre les versions

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# {{lexique|Antiquité|grc}} {{localités|grc|de Grèce|de Thrace|de Macédoine}} {{term|toponyme}} {{lien|Philippes|fr}}.
#* Οἱ δ’ ἀμφὶ τὸν Βροῦτον ἐκ παραλόγου τόλμης ἐς '''Φιλίππους''' παρῆλθον, ἔνθα αὐτοῖς καὶ ὁ Τίλλιος ἐπικατήχθη καὶ πᾶς ὁ στρατὸς συνεληλύθει. Οἱ δὲ '''Φίλιπποι''' πόλις ἐστίν, ἣ Δάτος ὠνομάζετο πάλαι καὶ Κρηνίδες ἔτι πρὸ Δάτου· κρῆναι γάρ εἰσι περὶ τῷ λόφῳ ναμάτων πολλαί. Φίλιππος δὲ ὡς εὐφυὲς ἐπὶ Θρᾴκης χωρίον ὠχύρωσέ τε καὶ ἀφ’ ἑαυτοῦ '''Φιλίππους''' προσεῖπεν. {{source|Appien dAlexandrie, ''Histoire romaine - Les Guerres civiles'', {{nobr|Livre IV}}, 105.}}
#*: C’est ainsi que Brutus et Cassius par une action étonnant par son audace s’avança vers '''Philippes''', où Tillius débarqua également : l’armée entière fut donc rassemblée. '''Philippes''' est une ville qui autrefois s’appelait Datus, et avant encore Crenides, parce qu’il y a à cet endroit beaucoup de sources bouillonnantes autour d’une colline. Philippe la fortifia parce qu’il la considérait une excellente forteresse contre les Thraces, et il l’appela de son nom '''Philippes'''. {{source|''Histoire des guerres civiles de la République romaine'', traduction de {{nobr|J. J. Combes-}}Dounous, Tome quatrième, Imprimerie des Frères Mame, Paris, 1808.}}
#* Ἦλθε δὲ Καῖσαρ ὕστερον ἡμέραις δέκα, καὶ κατεστρατοπέδευσεν ἐναντίον Βρούτου, Κασσίου δ’ Ἀντώνιος· τὰ δ’ ἐν μέσῳ τῶν στρατοπέδων πεδία Ῥωμαῖοι κάμπους '''Φιλίππους''' καλοῦσι. Καὶ μέγισται τότε Ῥωμαίων δυνάμεις ἀλλήλαις συνεφέροντο. {{source|Plutarque, ''Vie de Brutus'', {{nobr|ch. 38}}.}}
#*: César, qui arriva dix jours après<nowiki>[ Antoine]</nowiki>, campa vis-à-vis de Brutus, et Antoine en face de Cassius. L’espace qui séparait les deux camps est appelé par les Romains la plaine de ''Philippes'' ; c’étaient les armées romaines les plus nombreuses qui se fussent trouvées en présence l’une de l’autre. {{source|''Les Vies des Hommes illustres par Plutarque'' : ''Vie de Brutus'', traduction de {{nobr|M{{e|r}} l’abbé}} Dominique Ricard, {{nobr|t. II}}, Firmin Didot, Paris, 1883.}}
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/>    Dès le moment qu’il me plaira,<br
/>    Dieu même me délivrera.<br
/>Il est pourtant assez rare de voir des Juifs qui lisent les poètes grecs ; mais posé que celui-ci soit plus curieux que les autres ; de ce que Jésus ne se délivra pas lui-même, conclura-t-il qu’il ne put se délivrer ? Il devrait plutôt croire ce que nos Écritures récitent, que Pierre fut tiré hors de prison par un ange qui fil tomber ses chaînes, et que Paul et Silas ayant été mis aux ceps à ''Philippes'', ville de Macédoine, leurs liens aussi furent rompus par une vertu divine qui fit au même temps que les portes de la prison s’ouvrirent. {{source|''Contre Celse'', traduction par {{nobr|L. Migne}}, {{nobr|Livre II}}, {{nobr|J.-P. Migne}}, Paris, 1843.}}
 
==== {{S|gentilés}} ====