« je ne sais quoi » : différence entre les versions

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Traductions : +allemand : ein gewisses Etwas (assisté)
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#* ''Je cherchais '''je ne sais quoi''' dans la prunelle des hommes, au calice des fleurs, aux formes si changeantes, si multiples de la vie, […]'' {{source|{{w|Octave Mirbeau}}, ''[[s:Dans le ciel - 6|Dans le ciel]]'', 1892}}
#* ''La fatigue, le temps morne (j’entends de la pluie dans le soir), l’ombre qui augmente ma solitude et m’agrandit malgré tous mes efforts et puis quelque chose d’autre, '''je ne sais quoi''', m’attristent.'' {{source|{{Citation/Henri Barbusse/L’Enfer/1925}}}}
#* ''Il fait doux, il fait clair. L’hiver commence à peine et '''je ne sais quoi''' de printanier flotte dans l’air subtil.'' {{source|{{w|Charles Le Goffic}}, ''Bourguignottes et pompons rouges'', 1916, p.page 205}}
#* ''Au bout d’un couloir funèbre et saugrenu dont la disposition avait '''je ne sais quoi''' de caligaresque, l’entrée de ''La Java'' ne fait guère impression.'' {{source|{{Citation/Francis Carco/Images cachées/1928}}}}
#* ''Quand l’âme quitte le corps par le ventre pour nager, il se produit une telle libération de '''je ne sais quoi''', c’est un abandon, une jouissance, un relâchement si intime.'' {{source|{{w|Henri Michaux}}, ''La nuit remue'', 1935}}
#* ''Rémy avait, au Petit-Villemongin, une marraine, la mère Barbou, qui n'avait pas volé son nom. Elle était épicière ambulante et passait dans les villages avec sa voiture à grande bâche, où pendillait '''je ne sais''' tout '''quoi'''.'' {{source|{{w|Georges Lubin}}, « ''Une jolie attelée'' », dans ''Les Œuvres libres'', 1949, n° 42, p.page 182}}
#* ''Sa parfaite aisance, déjà mondaine, '''je ne sais quoi''' d’assuré dans la petite tête fière inquiète un peu sur ce que Gabrielle sera à vingt ans.'' {{source|{{w|Marguerite Yourcenar}}, ''{{w|Archives du Nord}}'', Gallimard, 1977, page 200}}
 
==== {{S|variantes orthographiques}} ====
* [[je-ne-sais-quoi]]