« élégance » : différence entre les versions

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# [[certain|Certaine]] [[distinction]] dans l’[[habillement]] et dans les [[manière]]s.
#* ''On n’eût point dit d’ailleurs, en le voyant, qu’il se passât quelque chose d’insolite par la ville, ni au Louvre ; il était vêtu avec son '''élégance''' ordinaire.'' {{source|{{Citation/Alexandre Dumas/La Reine Margot/1886|I|X}}}}
#* ''Ses cheveux, étalés en frange sur le front, s’'ys’y déroulaient avec une '''élégance''' foraine du meilleur aloi.'' {{source|{{Citation/Francis Carco/Messieurs les vrais de vrai/1927}}}}
#* ''Il s’était renippé soigneusement des pieds à la tête et, bénéficiant d’une incontestable '''élégance''' naturelle, il réussissait complétement à dépouiller le vieil homme.'' {{source|{{Citation/Victor Méric/Les Compagnons de l’Escopette/1930|}}}}
#* ''Ils remontaient au temps d’une certaine pègre pour qui la suprême '''élégance''' consistait à se pourvoir d’un couvre-chef de couleur tendre et de souliers vernis.'' {{source|{{Citation/Francis Carco/L’Homme de minuit/1938}}}}
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#* ''L’idée majeure de quantité fait également une certaine place à l’« '''élégance''' » du raisonnement quantitatif, comme celui utilisé par Gauss dans l’exemple suivant.'' {{source|''Compétences en sciences, lecture et mathématiques : Le cadre d’évaluation de PISA 2006'', OCDE, 2006}}
# {{au pluriel|fr}} [[manifestation|Manifestation]]s du [[bon goût]] en société.
#* ''Puis, très roide, un carreau dans l’œil, parut M. Daniel Salomon, l’arbitre des '''élégances'''.'' {{source|{{w|Anatole France}}, ''{{ws|Le Lys rouge/Texte entier|Le Lys rouge}}'', 1894, réédition Le Livre de Poche, page 11}}
#* ''— Tu as bien connu le marquis de Ré… À soixante-cinq ans, il avait gardé sa force, sa jeunesse. Il faisait la mode, décidait des '''élégances''' et était aimé. Les jeunes gens copiaient sa redingote, son monocle, ses gestes, son insolence exquise, ses manies amusantes.'' {{source|{{w|Anatole France}}, ''{{ws|Le Lys rouge/Texte entier|Le Lys rouge}}'', 1894, réédition Le Livre de Poche, page 303}}
#* ''Il eut surtout des amours retentissantes, des duels fameux, et jusqu’à des aventures louches de tripot et de femmes, qui laissent traîner derrière leurs héros une sorte de respect mystérieux, d’admiration inquiète, et les classent définitivement au premier rang des '''élégances''' incontestées.'' {{source|{{w|Octave Mirbeau}}, ''{{w|Contes cruels (Mirbeau)|Contes cruels}} : Gavinard''}}
 
#* ''« Il écrit bien, ce M. André de Fouquières !… soupirait ma mère en goûtant sa sauce. Il paraît que c’est l’arbitre des '''élégances'''… »'' {{source|{{w|Paul Guth}}, ''Le mariage du Naïf'', 1957, réédition Le Livre de Poche, page 9}}
==== {{S|dérivés}} ====
* [[arbitre des élégances]]
 
==== {{S|antonymes}} ====
* [[inélégance]]
 
==== {{S|traductions}} ====