« morne » : différence entre les versions
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Traductions : +norvégien (bokmål) : dyster (assisté) |
m →fr-nom-1 : Ajout d'une citation pour l'acception créole « », dans les colonies françaises. |
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# Nom qu’on [[donne]], dans les [[ancien]]nes [[colonie]]s [[français]]es ([[Réunion]], [[Antilles]], etc.), à une [[petit]]e [[montagne]]{{réf|2}}.
#* ''Sur le '''morne''' qui domine la rive septentrionale du goulet de la pointe Riche, nous distinguons un mât de signaux, premier indice de la civilisation européenne en ces cantons.'' {{source|''Voyage de [[w:Jules Dumont d'Urville|Dumont d’Urville]] autour du Monde, raconté par lui-même''}}
#* ''Le bois-chandelle pousse à l’état sauvage […] Il croît en petits bosquets sur les pentes érodées des '''mornes''' calcaires, dans les rajets (halliers).'' {{source|{{w|Doryane Kermel-Torrès}}; ''Les Huiles essentielles'', in ''Atlas de Haïti'', 1985}}▼
#* ''La nuit se faisait de plus en plus sombre, la lune avait disparu, le vent mugissait sourdement dans les '''mornes''', les pirates avaient fini, les uns après les autres, par se livrer au sommeil.'' {{source|{{Citation/Gustave Aimard/Les Trappeurs de l’Arkansas/1858}}}}
#* ''À sa gauche, le paysage défilait, très lentement, car la pétrolette de Jeffries avait fort à faire. C’était une succession de criques sauvages, de '''mornes''' déserts, d’îlots de corail, dominés par la masse sombre de la forêt et de la montagne.'' {{source|{{w|Pierre Benoit}}, ''Erromango'', 1929}}▼
#* ''Ce que l’on est tenté de prendre pour un donjon n’est peut-être qu’un '''morne''' pierreux.'' {{source|{{nom w pc|Jules|Verne}}, ''{{ws|Le Château des Carpathes/2|Le Château des Carpathes}}'', J. Hetzel et Compagnie, 1892, {{nobr|p. 17-27}}}}
▲#* ''À sa gauche, le paysage défilait, très lentement, car la pétrolette de Jeffries avait fort à faire. C’était une succession de criques sauvages, de '''mornes''' déserts, d’îlots de corail, dominés par la masse sombre de la forêt et de la montagne.'' {{source|{{w|Pierre Benoit}}, ''Erromango'', 1929}}
▲#* ''Le bois-chandelle pousse à l’état sauvage […] Il croît en petits bosquets sur les pentes érodées des '''mornes''' calcaires, dans les rajets (halliers).'' {{source|{{w|Doryane Kermel-Torrès}}; ''Les Huiles essentielles'', in ''Atlas de Haïti'', 1985}}
#* {{exemple|lang=fr
|Seuls les '''mornes''' célèbres, dont le pain de sucre, qui sont tout ce qu’il reste aujourd’ui de sauvage dans la baie, sont aujourd’hui reconnaissables.
|source={{w|Jean-Christophe Rufin}}, ''{{w|Rouge Brésil}}'', annexe « À propos des sources de ''Rouge Brésil'' »), page 547, éditions Gallimard, 2001}}
=== {{S|nom|fr|num=2}} ===
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