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m →‎glottisme : 1911
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* Plus que toute autre elle aima les '''glottismes''' savoureux, les caresses sur la joue, les jeux que la lampe voit seule et l’amour qui brise les membres. {{source|{{w|Pierre Louÿs}}, ''{{w|Les Chansons de Bilitis}}'', 1894, chnason 139 (« Le tombeau d’une jeune courtisane »). Texte procuré en ligne par Wikisource : [[s:Les Chansons de Bilitis, suivies de Chansons modernes/Les Chansons de Bilitis/128]], page 258.}}
* Plus tard, elle entrait au Didascalion, grand monument-école situé derrière le temple, et où les petites filles apprenaient en sept classes la théorie et la méthode de tous les arts érotiques : le regard, l’étreinte, les mouvements du corps, les complications de la caresse, les procédés secrets de la morsure, du '''glottisme''' et du baiser. {{source|{{w|Pierre Louÿs}}, ''{{w|Aphrodite (Louÿs)|Aphrodite}}'', 1896, livre I, chapitre II. Texte procuré en ligne par Wikisource : [[s:Aphrodite/Livre II/Chapitre I.]], page 95. }}
* {{source|{{w|Guillaume Apollinaire}}, ''{{w|Les Exploits d’un jeune Don Juan}}'', 1911 }}