« glottisme » : différence entre les versions
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# {{désuet|fr}} {{poétique|fr}} [[fellation|Fellation]]. {{refnec}}
#* ''Ici gît le corps délicat de Lydé, petite colombe, la plus joyeuse de toutes les courtisanes, qui plus que toute autre aima les orgies, les cheveux flottants, les danses molles et les tuniques d’hyacinthe. Plus que toute autre, elle aima les '''glottismes''' savoureux, les caresses sur la joue, les jeux que la lampe voit seule et l’amour qui brise les membres.'' {{source|Pierre Louÿs, Tombeau d’une jeune courtisane (Les Chansons de Bilitis)}}
#* Plus tard, elle entrait au Didascalion, grand monument-école situé derrière le temple, et où les petites filles apprenaient en sept classes la théorie et la méthode de tous les arts érotiques : le regard, l’étreinte, les mouvements du corps, les complications de la caresse, les procédés secrets de la morsure, du '''glottisme''' et du baiser. {{source|{{w|Pierre Louÿs}}, ''{{w|Aphrodite (Louÿs)|Aphrodite}}'', 1896, livre I, chapitre II. Texte procuré en ligne par Wikisource : [[s:Aphrodite/Livre II/Chapitre I.]], page 95. }}
==== {{S|traductions}} ====
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