« Parigot » : différence entre les versions

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{{-nom-|fr}}
{{fr-accord-ot|Parig|pa.ʁi.ɡ}}
'''Parigot''' {{m}}
# {{fam}} {{ucf|habitant}} de [[Paris]].
 
{{-syn-}}
* [[Parisien]]
* [[titi]] {{ell}} {{enfant}} ou {{popu}} [[titi]]
 
{{-exp-}}
* [[Parisien tête de chien, Parigot tête de veau]] : {{ucf|moquerie}} [[rimé]]e à l’[[égard]] d’un Parisien de la [[part]] d’un « [[provincial]] ».
*: ''Nous avons eu droit à quelques : « Parisiens, têtes de chien, Parigots, têtes de veau », mais aux alentours de dix ans, la possession d’un ballon arrange bien des choses.'' - (J. Joffo, ''Un sac de billes'', 1982 [1973], pp. 102-103)
*: ''On disait à la campagne : « Parisien tête de chien !... Parigot tête de veau ! » Ça se voulait d’une ironie féroce.'' - (A. Boudard, ''Mourir d’enfance'', 1995, p.page 51)
*: ''Je me battais presque chaque jour [à la ferme], soit pour nous défendre quand on nous appelait : « Parigot, tête de veau », soit pour corriger ceux qui me traitaient de « poil de carotte, poil de brique, tache de son ».'' - (J. Lanzmann, ''Le têtard'', 1976, p.page 29)
 
{{-note-}}
: On trouve en 1883, sous la plume d’E. Rolland, l’expression ''Parisien cu ''[sic]'' de lapin''.