Ganz Serbien war (nach den Amokläufen) unter Schock. (...) Die Polizei und Behörden machten Fehler, lasen öffentlich Namen auf der Abschussliste des ersten Täters vor und diktierten Medien Details aus dem Privatleben der Täter und ihrer Familien.— (Vedran Džihić, « Showdown in Serbien? », dans Der Standard, 19 mai 2023 [texte intégral])
Toute la Serbie était sous le choc (après les tueries). (...) La police et les autorités ont commis des erreurs, ont lu publiquement des noms sur la liste de personnes à abattre du premier coupable et ont dicté aux médias des détails sur la vie privée des coupables et de leurs familles.