passim
Français modifier
Étymologie modifier
- Du latin passim.
Adverbe modifier
passim \pa.sim\
- (latin employé parfois en français avec la même signification) Çà et là, en différents endroits.
- Les autres convives européens ou asiatiques sont installés passim, avec l’évidente intention de faire honneur à ce repas. — (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre IV, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
- Je mordais ton ventre et ton torse gibbeux et passim… — (Gérard Ansaloni, Les dix rouleaux de Touenhouang, Éditions La p’tite Hélène, 2018)
- Mais elle avait écrit aussi qu’il était vieux et las, qu’elle-même aimait le plaisir, tout en notant, passim, que le moine, de mœurs paillardes, était le fort jeune cadet de son époux. — (Maurice-Charles Renard, L’Inconnu des îles, Librairie des Champs-Élysées, 1954, chapitre VI)
Prononciation modifier
- Lyon (France) : écouter « passim [Prononciation ?] »
Anagrammes modifier
→ Modifier la liste d’anagrammes
Références modifier
- Tout ou partie de cet article est extrait du Dictionnaire de la langue française, par Émile Littré (1872-1877), mais l’article a pu être modifié depuis. (passim)
Latin modifier
Étymologie modifier
Adverbe modifier
passim \pa.sim\
- Çà et là, en différents endroits.
- ERCAVICA. Quo loco hodie Santaver. Imperatorii tantum, Augusti, Tiberii, Caligulae. Epigraphe: ERCAVICA. tantum, iatra quemara. MVN. ERCAVICA plerumque Scriptores veteres campassim dixerunt Ergavicam. — (Joseph Hilarius von Eckhel, Doctrina numorum veterum, page 50)
Références modifier
- « passim », dans Félix Gaffiot, Dictionnaire latin français, Hachette, 1934 → consulter cet ouvrage