Page pour l’archivage des messages traités et en suspens d’octobre 2009.

Questions résolues modifier

grande piéce réfrigérer.

Je viens de créer l'article. Pamputt [Discuter] 1 octobre 2009 à 14:03 (UTC)[répondre]

Je pense que c’est clairement une locution figée. --Eiku(@) 2 octobre 2009 à 16:27 (UTC)[répondre]

sous réverve de + infinitif et sous réserve que + proposition sont des locutions conjonctives toutes les deux, et méritent donc un article. Chrisaix 2 octobre 2009 à 17:10 (UTC)[répondre]
Il y a aussi la locution adverbiale sous réserve(s) qui a sa place ici. Merci Eiku. Chrisaix 2 octobre 2009 à 17:12 (UTC)[répondre]
Merci Chrisaix. --Eiku(@)

callune qui se trouve sous l'entrée étrépage n'est pas défini dans le 'Wictionnaire" Il ne se trouve pas non plus dans le TLF ou le Robert.Je rechecherai dans d'autres dictionnaires plus spécialisés.

Wikipédia donne ça : Bruyère callune. --Eiku(@)

Personne qui fait des travaux de force. Trouvé grâce aux Inconnus, encore une fois dans ("Pas de Bégonias pour le cave") :

  • J’voudrais bien jouer les gagne-petit, les pue-la-sueur, mais j’ai pas la vocation.

Ça ressemble beaucoup à tant que faire se peut, mais pourtant le sens est totalement autre. Je dirais que c’est très proche de pendant qu’on y est. --Eiku(@) 2 octobre 2009 à 23:02 (UTC)[répondre]

C'est acceptable comme locution ? Et au fait, condensat n'existe même pas ! --Casesspent1 5 octobre 2009 à 22:52 (UTC)[répondre]

C’est très acceptable. Condensat n’est pas encore dans le Wiktionnaire, mais il a intérêt à saisir cette chance rapidement. --Eiku (d) 6 octobre 2009 à 19:43 (UTC)[répondre]

--Casesspent1 6 octobre 2009 à 19:23 (UTC)[répondre]

On dit bien plus souvent interprétation (qui est d’ailleurs à compléter dans ce sens), mais l’avantage d’interprétariat est d’être monosémique (ça se dit ?  ). --Eiku (d) 6 octobre 2009 à 19:44 (UTC)[répondre]

Ah super ! Je savais bien que le sens était différent, mais je n’aurais pas su le définir. --Eiku (d) 6 octobre 2009 à 23:54 (UTC)[répondre]

sens supplémntaire pour sexy   --Fait modifier

Depuis pas très longtemps (six ou sept ans à tout casser), les gens qui sont dans le marketing ou la communication utilisent sexy comme synonyme parfait d’attrayant, sans connotation sexuelle, donc. Je propose de rajouter cette définition (enfin, ce synonyme) dans l’article, mais avant, je veux votre avis : est-ce seulement utilisé avec ce sens dans ces deux domaines (marketing et communication) ? --Eiku (d) 6 octobre 2009 à 20:55 (UTC)[répondre]

Jargon professionnel ou non, ça existe et c’est employé. --Eiku (d) 10 octobre 2009 à 20:54 (UTC)[répondre]
Je ne pense pas qu'on puisse vraiment parler de jargon professionnel mais, effectivement, même si ça l'était, il faudrait quand même le mettre. Nous n'avons rien contre les mots des jargons professionnels, ce sont des mots comme les autres. Lmaltier 10 octobre 2009 à 21:24 (UTC)[répondre]

Faudrait faire quelque chose pour cet article... (Notez que ce message va aussi me servir de mémo personnel pour me dire de le faire) Jona 7 octobre 2009 à 08:18 (UTC)[répondre]

  --Diligent 12 octobre 2009 à 13:42 (UTC)[répondre]

Je pourrai peut-être les créer ce soir, à partir de Wikipédia. C’est donc plus une note à moi-même qu’une proposition. --Eiku (d) 8 octobre 2009 à 14:36 (UTC)[répondre]

 

Expression vue dans Le Matou d'Yves Beauchemin. Probablement une porte dont le haut et le bas s'ouvre séparément. La partie inférieur porte une tablette qui peut servir de guichet une fois la partie supérieure ouverte.

Explication séduisante, d'ailleurs :
    • Il ouvrit brusquement la porte-guichet, la porte basse, pesa sur un commutateur, et deux vasques de mille bougies firent le soleil. Un flamboiement ! — (Le Souverain Seigneur, page 178, Jean de La Varende, 1953) mais je n'ai trouvé que l'explication suivante :
    • Architecture : "La porte-guichet est une porte pratiquée dans le vantail d'une grande porte pour donner passage aux piétons". — (Paul Cattin, Les Comptes de construction du château de Rémens ou Château-Gaillard, page 106, 1990)
    • Une porte-guichet, ménagée dans le vantail sud, permet de donner passage aux seuls piétons. — (Gérard Degeorge, Damas: des Ottomans à nos jours, page 106, 1994)
D'ailleurs un guichet est une petite porte pratiquée dans une plus grande. porte-guichet serait donc tout simplement synonyme de guichet. Des planches illustratives d'architecture ne montrent pas une telle séparation (mais possible, après-tout) [1]. Stephane8888 Discuter 10 octobre 2009 à 23:50 (UTC)[répondre]
  --Diligent 15 octobre 2009 à 09:56 (UTC)[répondre]

intox, voir Wikipédia.

Bien sûr. Mglovesfun (disc.) 14 octobre 2009 à 17:50 (UTC)[répondre]
  merci de cette jolie proposition. Wikipédia se trompe légèrement : le mot prédate (ça se dit en français ?), précède l'émission mais elle a indéniablement contribué à sa vulgarisation. --Diligent 15 octobre 2009 à 09:43 (UTC)[répondre]

Mais je ne sais pas dans quelle langue le mettre. --Casesspent1 14 octobre 2009 à 22:13 (UTC)[répondre]

latin : « Iesus Nazarenus Rex Iudaeorum » --Actarus (Prince d'Euphor) 15 octobre 2009 à 06:26 (UTC)[répondre]
  avec mise-à-jour de tétragramme en prime pour ceux que cela intéressent. --Diligent 15 octobre 2009 à 11:42 (UTC)[répondre]

Ensemble de biens appartenant à un ou plusieurs héritiers--83.206.120.18 1 octobre 2009 à 12:09 (UTC)[répondre]

L'article existe déjà : → voir hoirie. Cdlt. --Actarus (Prince d'Euphor) 1 octobre 2009 à 12:12 (UTC)[répondre]

oiselle (nom feminin singulier) - oiselles (nom feminin pluriel) -- Fait modifier

Existe déjà dans wiktionnaire sous ferme de verbe conjugué au présent (peut s'écrire avec un seul "L". Le nom s'écrit avec deux "L" et désigne toute femelle d'oiseau (présent dans le gros Robert). Ce terme écrit ainsi est synonyme également de jouvencelle, désignant une jeune fille dans la fleur de l'âge à la base vierge et généralement jolie.

Où sont les "dames oiselles" du Moyen Âge... ?
Ah, je sais que des dictionnaires comme Le Petit Robert mettent les mots définis en haut-de-casse, mais ici, on ne le fait pas. --Eiku(@) 2 octobre 2009 à 16:32 (UTC)[répondre]

Dans le même registre... --Eiku(@) 3 octobre 2009 à 10:59 (UTC)[répondre]

(ne pas) tenir debout et se tenir -- Faits modifier

Il y a aussi ça, dans le sens de être vraisemblable, cohérent.

  • Ça ne tient pas debout.
  • Ah, oui, ça se tient.

Pour le moment, se tenir redirige vers tenir et ne contient pas ce sens (bien qu’un sens très proche soit donné par le DAF, sans doute le précurseur de ce nouveau). --Eiku(@) 3 octobre 2009 à 11:01 (UTC)[répondre]

J'ai séparé le verbe se tenir du verbe principal et j'y ai rajouté ce que tu dis. Le sens y était déjà, en tout dernier. J'ai aussi créé tenir debout qui est une locution figée. Chrisaix 3 octobre 2009 à 11:43 (UTC)[répondre]

squash (le sport) -- Fait modifier

Est-ce qu'un francophone ajouter un article français, squash (le sport)? On le trouve sur Wikipédia. La traduction anglaise est aussi squash. Merci. - Gene 3 octobre 2009 à 21:25 (UTC)[répondre]

Je me suis inspiré de Squash, mais l'article est à relire, c'est sûr. Mglovesfun (disc.) 3 octobre 2009 à 22:03 (UTC)[répondre]

ajouter son grain de sel c'est donner son avis dans une conversation alors que vous ni étes pas invité --vincent.v.

L’utilisateur a créé la page, mais comme on a déjà grain de sel, j’en ai fait une redirection et ai déplacé sa contrib ici. Cependant, peut-être certains seront d’avis de supprimer et d’autres de faire un article (figé, etc.  ). Qu’en pensez-vous ? --Eiku (d) 4 octobre 2009 à 00:09 (UTC)[répondre]
Très bonne solution. Stephane8888 Discuter 8 novembre 2009 à 23:16 (UTC)[répondre]


voir sur Wikipédia, la définition : c'est un célèbre contrepoison

L'article existe déjà. Stephane8888 Discuter 10 novembre 2009 à 23:45 (UTC)[répondre]


Je sais, la marque s'écrit sans accent et avec une majuscule, mais voir ceci. --Casesspent1 5 octobre 2009 à 18:08 (UTC)[répondre]

exprimer (biologie) -- Fait modifier

"les gènes de cellules identiques ne s’expriment pas de la même façon." --Casesspent1 5 octobre 2009 à 18:36 (UTC)[répondre]

--Casesspent1 5 octobre 2009 à 18:52 (UTC)[répondre]

J'ai fait une ébauche. --Casesspent1 5 octobre 2009 à 21:57 (UTC)[répondre]
Bon boulot. Merci. Stephane8888 Discuter

Ce mot est d'actualité, mais il n'a pas d'article. Question : nom propre ou nom commun ? — Dakdada (discuter) 9 octobre 2009 à 14:18 (UTC)[répondre]

Les deux mon capitaine. --Eiku (d) 10 octobre 2009 à 20:51 (UTC)[répondre]
Je dirais nom de famille + nom commun.
  avec le joli nobéliste en prime. --Diligent 15 octobre 2009 à 10:33 (UTC)[répondre]
et aussi nobélisé pour ceux qui en ont bénéficié... verdy_p (d) 28 octobre 2009 à 18:40 (UTC)[répondre]

Aidez-moi SVP -- Traité modifier

Comment dit-on dieux et personne/personnage en italien, espagnol et portugais ?

En espagnol, una persona, un personaje (emprunt au français). Mglovesfun (disc.) 12 octobre 2009 à 11:26 (UTC)[répondre]
J'ai vérifié : tout est bien dans personne#Traductions et personnage#Traductions. JackPotte 12 octobre 2009 à 23:22 (UTC)[répondre]

NOK et KO -- Traité modifier

Antonymes de OK#fr, on les trouve à profusion sur Internet, y compris en minuscule, mais dans aucun dictionnaire. JackPotte 12 octobre 2009 à 23:11 (UTC)[répondre]

Aussi dans les automates programmables : TRUE/FALSE, OK/NOK. --Casesspent1 13 octobre 2009 à 13:20 (UTC)[répondre]

Que l'on peut éditer facilement, en parlant d'un document électronique.

Déjà valable au Scrabble, fortement pour celui-ci. Mglovesfun (disc.) 13 octobre 2009 à 08:03 (UTC)[répondre]
accepter --Actarus (Prince d'Euphor) 13 octobre 2009 à 08:12 (UTC)[répondre]

Anglais, mais peut-être aussi français ? (voir w:Total_(entreprise)#Elf). --Casesspent1 13 octobre 2009 à 17:34 (UTC)[répondre]

anglicisme mais français ; très courant dans la pub. En franco-français ; refonte de l'image de marque, de la marque. --Diligent 15 octobre 2009 à 09:19 (UTC)[répondre]

Hello, a stranger! -- Ajouté modifier

Tiens, un revenant ! (selon le R&C) --Casesspent1 13 octobre 2009 à 17:41 (UTC)[répondre]

On a déjà stranger en anglais. Mglovesfun (disc.) 14 octobre 2009 à 17:48 (UTC)[répondre]
Je l'ai mis dedans, ça convient ? --Casesspent1 14 octobre 2009 à 22:18 (UTC)[répondre]

brouter dans le sens de ennuyer, faire ch* -- Ajouté modifier

Je ne connais pas cette expression depuis très longtemps, mais une recherche google m’a prouvé qu’elle est très utilisée, avec brouter dans le sens de ennuyer, emmerder :

    • Langue de l’exemple manquante !

Mais on voit aussi pas mal de « ça me broute sévère » et même quelques occurrences qui ne sont pas à la première personne du singulier (« ça commençait à le brouter »). --Eiku (d) 13 octobre 2009 à 22:25 (UTC)[répondre]

ça me les broute, ça me broute le chou, ils m'ont brouté le mou... Quand on m'embête ça me broute le noeud, le premier qui me broute le pistil [celui-là je le connaissais pas], j'ui r'monte les jouailleuses à coup d'talonettes --Casesspent1 14 octobre 2009 à 13:33 (UTC)[répondre]

Selon Wikipédia, c'est un autre nom pour êta. C'est ça ou non ?

Non. --Casesspent1 18 octobre 2009 à 20:23 (UTC)[répondre]
Voir w:Hêta (lettre grecque) : c'est une lettre différente. --Casesspent1 19 octobre 2009 à 09:28 (UTC)[répondre]

biomimétique --Ben l'existe, couillon modifier

J'en avais tout un tas d'autres, que j'ai oubliés, mais on s'en fiche. --Casesspent1 24 octobre 2009 à 16:36 (UTC)[répondre]

Enfin je me permet de faire remarquer que « Relatif au biomimétisme » est une définition à la con.

aromathérapie, étiopathie. --Casesspent1 24 octobre 2009 à 18:21 (UTC)[répondre]

Bien vrai, ça !   Changé  . --Eiku (d) 24 octobre 2009 à 22:09 (UTC)[répondre]

http://www.cnrtl.fr/etymologie/mouk%C3%A8re

 --Szyx (d) 4 novembre 2009 à 01:23 (UTC)[répondre]

esculape --Existe déjà modifier

http://www.funmeninges.com/dicoplus-consulter-mot-ESCULAPE.html — non signé par 192.165.213.18, le 26 octobre 2009 à 13:31

Déjà présent, voir lien ci-dessus... verdy_p (d) 26 octobre 2009 à 13:46 (UTC)[répondre]
Note que pour rechercher si un mot existe dans le Wiktionnaire, on le tape sans capitalisation supplémentaire ou optionnelle (mais si le Wiktionnaire le le trouve pas, il rechercher et propose aussitôt des mots avec une capitalisation différente). Bref tu n'as pas du tout cherché avant de créer ton lien (que j'ai corrigé dans le titre que tu as donné). Le Wiktionnaire ne contient pas d'article nommé avec une capitalisation contextuelle ou stylisistique, mais uniquement avec les capitales canoniques (pour les noms propres ou les noms de gentilés, ou les noms communs en allemand par exemple). verdy_p (d) 27 octobre 2009 à 09:27 (UTC)[répondre]

Je ne sais pas comment définir ce verbe… --Eiku (d) 26 octobre 2009 à 14:41 (UTC)[répondre]

J’ai ébauché une définition. Je n’arrive pas à faire mieux, désolé. --Eiku (d) 29 octobre 2009 à 10:08 (UTC)[répondre]

Poursuivre un traitement lourd qui devient disproportionné par rapport au bien qu'en retire le patient.

  ébauché ! --Eiku (d) 28 octobre 2009 à 00:11 (UTC)[répondre]

Lyrer : terme québécois pour "pleurnicher", en parlant des enfants qui "lyrent" ou "pleurnichent"

    --Eiku (d) 28 octobre 2009 à 13:35 (UTC)[répondre]

ce mot me semble avoir besoin d'une entrée, il est présent dans plus de 70 articles sur wikipedia, et je pense l'avoir souvent entendu.

http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Spécial:Recherche&search=programmatique&fulltext=Search&ns0=1&redirs=1

on trouve une définition ici:

http://dictionnaire.sensagent.com/programmatique/fr-fr/

  (avec des doutes) --Szyx (d) 4 novembre 2009 à 01:16 (UTC)[répondre]

HMS, USS et autres navires --Fait modifier

Je me suis toujours demandé ce que signifiaient les acronymes qu’on trouve au début du nom d’un bateau. Mais ma curiosité n’est pas forte au point que je trahisse le Wiktionnaire et demande à Wikipédia  . Donc je propose leur création par quelqu’un qui sait ! --Eiku (d) 29 octobre 2009 à 17:44 (UTC)[répondre]

HMS : Her Majesty's ship. USS : United States Ship. Lmaltier 30 octobre 2009 à 18:50 (UTC)[répondre]
 --Szyx (d) 3 novembre 2009 à 20:33 (UTC)[répondre]

Variété de français employé dans les colonies et censé être plus adapté à l’apprentissage par les autochtones (en réalité un vecteur de discriminations de plus). Ça va comme définition ?--Eiku (d) 30 octobre 2009 à 15:16 (UTC)[répondre]

Je n'ai jamais entendu parler de petit nègre sauf dans parler petit-nègre. Stephane8888 Discuter 30 octobre 2009 à 18:35 (UTC)[répondre]
"C'est du petit-nègre!" Stepan rigolait: "C'est du petit-Stepan" [2]
Les adolescents connaissent bien ces adultes qui croient parler leur langue en maniant un petit nègre mal tricoté. [3]
--Szyx (d) 4 novembre 2009 à 23:27 (UTC)[répondre]
Ok, donc petit nègre désigne un type de langage (et non un petit noir comme présent dans l'article ^^). Pour le politiquement correct, laissons les auteurs responsables de leur textes. Stephane8888 Discuter 9 novembre 2009 à 15:18 (UTC)[répondre]

Il s'agit d'ajouter le sens de w:Nature (grammaire) comme synonyme de catégorie lexicale (qui pointait déjà dessus). JackPotte 10 août 2009 à 06:15 (UTC)[répondre]

 . JackPotte 31 octobre 2009 à 20:48 (UTC)[répondre]


Questions en suspens modifier

renardelle (nom féminin singulier) - renardelles (nom féminin pluriel) modifier

Vu que le wiktionnaire propose le mot de souricelle (je connaissais le terme souricette pour souriceau femelle) pour désigner un souriceau femelle, une renardelle pourrait désigner un renardeau femelle. Et comment dit-on pour un louveteau femelle ? Une louvetelle ?

On trouve quelques exemples d'utilisation de louvetelle, et aussi de renardelle (et un lieu-dit s'appelle La Renardelle). Mais je doute que ces mots deviennent communs un jour... Lmaltier 1 octobre 2009 à 20:03 (UTC)[répondre]

poissonne (nom feminin singulier) - poissonnes (nom feminin pluriel) modifier

Déjà vu dans le dictionnaire "Gros Robert", désigne la femelle du poisson (quel qu'il soit).

Déjà vu dans des romans comme synonyme de sirène (dame poissonne). Chrisaix 2 octobre 2009 à 17:07 (UTC)[répondre]


poussine (nom féminin singulier) - poussines (nom feminin pluriel) modifier

désigne un poussin femelle.

Théoriquement c'est possible mais je ne crois pas que ce soit très employé. Pourquoi pas chatonne, canetonne, alevine, baleinelle, serpentelle ou que sais-je encore, on ne va pas inventer un nom féminin pour chaque nom de bébés animaux. Redirectionneur Phou 15 octobre 2009 à 13:27 (UTC)[répondre]

se vêtir

voilà ! Juste un accent qui manquait. --Eiku(@)
Oups... J’ai écrit trop vite : j’étais persuadé que l’entrée existait. Elle est probablement dans vêtir. --Eiku(@) 2 octobre 2009 à 20:35 (UTC)[répondre]
Quel est le sens de se vêtir, à part se + vêtir ? Mglovesfun (disc.) 3 octobre 2009 à 22:05 (UTC)[répondre]
il est transitif, l'un des septs devoirs de la charité est de vêtir ceux qui sont nus. --Diligent 7 octobre 2009 à 09:24 (UTC)[répondre]
Si c'est des filles de 21 ans, je dis oui. Mglovesfun (disc.) 14 octobre 2009 à 18:00 (UTC)[répondre]

Vu dans un article de Wikipédia (fr:vulcanisation) : je recopie ici le passage où mélangeage est mentionné :

  • Certains autres protègent (antioxygènes, ...), ramollissent (huiles, graisses, acides gras, ...), ou encore colorent (oxyde de zinc, lithopone, ...). Pour faciliter le mélange de ces ingrédients, on utilise un solvant.Erratum : Le mélangeage (bien que ce terme ne soit pas français il est couramment employé dans la profession au lieu du terme malaxage) des ingrédients se fait "par voie séche", c'est à dire sans aucun solvant, par broyage mécanique ce qui génère un échauffement des ingrédient favorisant l'adsorption des produits entre eux.

couramment employé dans la profession → on inclut ? --Eiku(@) 2 octobre 2009 à 21:42 (UTC)[répondre]

Ben oui. pas français voulait certainement dire absent du dictionnaire que j'ai consulté. Lmaltier 2 octobre 2009 à 21:50 (UTC)[répondre]
Halte au déconnage... --Actarus (Prince d'Euphor) 4 octobre 2009 à 14:12 (UTC)[répondre]
Pardon ? mélangeage est effectivement un terme technique courant, qui a même des dérivés : salle de mélangeage, démélangeage... Lmaltier 4 octobre 2009 à 15:19 (UTC)[répondre]
Je n’aurais pas dû mettre ce point d’interrogation. C’était une question rhétorique. Bien sûr qu’on inclut. De plus, je suis certain qu’il existe dans certains dictionnaires. Tiens, le TLFi l’a, par exemple. --Eiku (d) 4 octobre 2009 à 16:24 (UTC)[répondre]
En même temps, "Halte au déconnage" est ambigu... et on a tendance à le prendre dans le sens qui ne nous plaît pas   --Eiku (d)

Les trois ne sont pas tout à fait synonymes. Je n’arrive pas à trouver d’équivalent en français. Il en existe sûrement un, non ?

cover story

  1. Mensonge élaboré qui sert à dissimuler la vérité.
    • Langue de l’exemple manquante !

cover-up / snowjob

  1. Moyen de dissimuler la vérité.

Ma traduction est mauvaise, je sais, mais je ne vois pas quoi mettre de mieux. --Eiku(@) Mais Wikipédia a [un bon article] dessus. --Eiku(@) 3 octobre 2009 à 11:04 (UTC)[répondre]

rideau de fumée
  • la plus célèbre tentative d'exploitation des nodules polymétalliques constitue en fait un rideau de fumée visant à dissimuler une opération d'espionnage.
--Diligent 22 novembre 2009 à 16:50 (UTC)[répondre]

Parler lyonnais (mais apparemment aussi drômois, comme semble l’indiquer l’annexe du parler drômois d’Eölen). D’après ma grande-tante, ça veut dire regarder / observer. À propos de parler lyonnais, ma grande-tante a plusieurs livres (certains sur le parler lyonnais, et un en parler lyonnais). Je pourrais lui en emprunter quelques-uns. Sinon, j’ai aussi trouvé ça en cherchant apincher : http://parlerlyon.free.fr/html/dico.htm et aussi (pour commencer par les plus courants) ça : http://amisdeguignol.free.fr/texte/dico/dicoA.htm --Eiku (d) 4 octobre 2009 à 00:37 (UTC)[répondre]


changement pour un rapport inférieur. 216.86.113.139 4 octobre 2009 à 05:05 (UTC)[répondre]

Comparez avec en:chip. Et aussi, ça existe en français (avec le sens micro-puce, je suppose). Mglovesfun (disc.) 4 octobre 2009 à 15:08 (UTC)[répondre]

Personnellement, je dirais que ça n'est pas fraçais : je dis puce et Dieu sait que je fourre mes conversations d'anglicismes. --Diligent 22 novembre 2009 à 16:52 (UTC)[répondre]

qu'est ce qu'un culioliste ? si çà s'écrit ainsi !!

Un partisan des théories du linguiste Antoine Culioli ? --Rāvən (d) 22 juin 2009 à 23:26 (CEST)

(copié/collé depuis le Café des linguistes de WP) --Eiku (d)


Excusez-moi, mais je suis étonné de ne pas trouver la définition ici. --Casesspent1 5 octobre 2009 à 18:39 (UTC)[répondre]

Encore un grand classique des mots-croisés. Aneto sur l’encyclopédie Wikipédia   --Casesspent1 5 octobre 2009 à 18:47 (UTC)[répondre]


Fichue société de consommation.  --Casesspent1 5 octobre 2009 à 19:53 (UTC)[répondre]

Il y a je pense un sens figuré, comme adjectif et peut-être comme nom (je suis pas sûr). --Casesspent1 5 octobre 2009 à 20:17 (UTC)[répondre]

Les mots-croisés n'arrêtent pas de l'utiliser. Est-ce acceptable ? --Casesspent1 5 octobre 2009 à 20:21 (UTC)[répondre]

Les mots croisés contiennent plein d'abbréviations pour justifier des "mots" de 2 lettres (et ne se contentent souvent pas du français, mais vont mettre aussi des initiales de noms propres). Leur présence dans une grille en fait juste un jeu intellectuel pour voir en quoi ils sont en rapport avec la définition, mais n'en fait pas des mots pour autant. Parmi les classiques on trouve NS (Nord-Sud), EO (Est-Ouest, Points cardinaux), JP (Jean-Pierre, ou Les deux premiers des apôtres, ou Soleil levant sur la toile)... Du coup presque toutes les combinaisons de 2 lettres sont admises dans les grilles de mot-croisées françaises pour réduire le nombre de cases noires (les grilles en anglais sont généralement moins permissives, car la densité du vocabulaire dans les mots courts y est bien plus élevée).
Mais si tu as un exemple de définition dans une grille pour ce « mot », indique le (mais ça n'en fera pas pour tant une définition de dictionnaire). Si tu trouves un truc du genre « Dans la pluie », tu devras deviner qu'il s'agissait des lettres terminant le dernier mot de cette « définition ». verdy_p (d) 16 novembre 2009 à 07:29 (UTC)[répondre]

Nom d'une protéine. Il y en a plein d'autres, bien sûr.

Ce n'est pas plutôt une abréviation (plus ou moins internartionale) ? Si on commence comme ça, on va importer tout le lexique des formules chimiques, qui ne sont pas des noms en tant que tels. Je veux bien mais ça n'a rien à voir avec le français ou n'importe quelle langue, c'est un jargon scientifique sans langue (et peut-être aussi une marque commerciale déposée remplaçant le nom ou la formule véritable).
Les vrais noms de protéines n'ont pas besoin de capitales, par exemple caséine, théine, caféine, théobromine, ou même plus compliquées comme la riboflavine, l’érythromycine, etc. ou des dénominations communes (qui ne sont pas des protéines) comme l’aspirine, ou les hormones naturelles comme l’adrénaline, la testostérone et la progestérone. verdy_p (d) 27 octobre 2009 à 11:01 (UTC)[répondre]

--Casesspent1 5 octobre 2009 à 21:50 (UTC)[répondre]

C'est acceptable comme locution ? --Casesspent1 5 octobre 2009 à 21:52 (UTC)[répondre]

Oui. --Eiku (d)
Ah. --Casesspent1 6 octobre 2009 à 19:43 (UTC)[répondre]

Là, je doute fortement de l’admissibilité. On dit

  • Silence ! mais pas Du silence !
  • Du calme ! quand on parle à des êtres humains et Calme ! à un chien ou un cheval

d’après ces différences, je dirais inclusion, mais ma question est : ça ouvre la porte à quoi d’autre ? Je suis pas en état de faire un listing, mais j’ai peur que ça fasse beaucoup de travail à faire, ce qui me ferait me sentir encore plus coupable vu que le gros du travail, c’est pas moi qui le fais. --Eiku (d) 7 octobre 2009 à 01:30 (UTC)[répondre]

Ça va te sembler bizarre comme explication. On ne dit pas "du silence" à cause de la proximité des voyelles "u" et "i", dont les sons (/y/ et /i/) vont plutôt à l'inverse de ce qui est dit (ce sont des sons agressifs, tout comme le /s/). Alors que dans la locution "du calme", il y a un son /y/ rapide et un son /a/ long qui va exactement dans le sens de ce qu'on souhaite, avec le son /k/ qui vient là pour couper court à ce qui se passe. Tu as la même chose en allemand avec "ruhig" : un son long (/u/) et un son court (/i/) avec, comme en français, un son de consonne finale très doux. J'avais déjà fait ce genre d'analyse sur des textes de Victor Hugo qui savait très bien choisir ses sons en fonction de ce qu'il voulait exprimer. Il "ressentait" la langue comme une musique et jouait avec les sons. Il écrivait ses poèmes et ses romans comme un musicien écrit une partition : en entendant la musique dans sa tête. Par jeu : cette petite phrase tirée des Misérables : Il était froid, calme, grave, avait ses cheveux gris parfaitement lissés sur les tempes et venait de monter l'escalier avec sa lenteur habituelle. Trois parties dans la phrase : sons en /a/ (froid, calme, grave), sons sifflants (cheveux, lissés, sur ses) et sons en /l/ (l'escalier, lenteur, habituelle). La première partie est lente, presque inéluctable, la deuxième est agressive (avec un adverbe ne contenant que des consonnes brèves : parfaitement), la troisième indique le mouvement lent, la détermination. Rien que dans les sons utilisés, Victor Hugo décrit non seulement l'extérieur du personnage, mais aussi sa personnalité. C'est ce qui est tout à fait génial chez lui. Chrisaix 7 octobre 2009 à 10:27 (UTC)[répondre]
Dis, Chrisaix, c'est très intéressant, mais je n'ose même par imaginer ce que tu as fumé ce matin !   --Actarus (Prince d'Euphor) 7 octobre 2009 à 10:38 (UTC)[répondre]
Même pas ! C'est un travail que j'ai déjà fait plusieurs fois et qui est passionnant. Chrisaix 7 octobre 2009 à 10:57 (UTC)[répondre]
C’est une chose à laquelle je n’avais jamais pensé, mais pour une fois, je vais pas me plaindre de ne pas comprendre : je te suis sans problème. Ça paraît même évident une fois qu’on le voit analysé comme ça. Bien vu ! --Eiku (d) 7 octobre 2009 à 11:32 (UTC)[répondre]
Je pense qu'on peut effectivement créer du calme, qui est vraiment une locution figée, ce qui est particulièrement évident si on pense à la remarque faite plus haut : on dit du calme à des humains, et calme à des animaux. Lmaltier 7 octobre 2009 à 16:25 (UTC)[répondre]
J'ai entendu (plus jeune...) Calme ! envers des humains, mais ça s'entend encore (aussi Calmos !) quand quelqu'un s'interpose dans une dispute... Je ne pense pas que la différence animal/humain soit réellement pertinente, car Du calme ! se dit aussi par un dresseur à un animal domestique, ou par ton maître d'une animal de compagnie trop pressé (d'avoir sa gammelle, ou d'effectuer une action comme courir, faire la fête à quelqu'un qui arrive...). verdy_p (d) 27 octobre 2009 à 10:49 (UTC)[répondre]

Français, anglais, espagnol [4] --Casesspent1 7 octobre 2009 à 10:26 (UTC)[répondre]

Le nom du type d’une société, je crois. --Eiku (d) 7 octobre 2009 à 11:11 (UTC)[répondre]

Bonne idée. Mais c'est pas le type de société mais son nom.Lpele 9 octobre 2009 à 18:59 (UTC)[répondre]
Je veux bien créer la page, mais est-ce que « nom complet d’une entreprise » suffit, comme définition ? --Eiku (d) 12 octobre 2009 à 20:59 (UTC)[répondre]
Plutôt le nom officiel (enregistré) d'une entreprise, pour la distinguer de ses marques commerciales et des enseignes de ses établisssements et franchises (complet n'est pas assez clair et peut même être faux ou désigner un ancien nom avant justement le changement de sa raison sociale)... verdy_p (d) 28 octobre 2009 à 18:38 (UTC)[répondre]

Définitions supplémentaires pour individualisme modifier

Je vois qu’à la page individualisme, il n’y a pour l’instant qu’une définition (à laquelle je n’ai rien à redire). Sur le TLFi, j’en compte cinq ou six (en comptant les « en particulier » etc.). --Eiku (d) 8 octobre 2009 à 12:49 (UTC)[répondre]


Personnellement, je ne connaissais que la version avec fard, mais mon prof de français et une petite recherche google m’ont convaincu que piquer un phare existe aussi (au moins depuis 1927), dans le même sens de « rougir brutalement sous le coup d’une émotion ». --Eiku (d) 12 octobre 2009 à 20:57 (UTC)[répondre]

Le 2e ne veut dire que « voler le projecteur de lumière destinés à l'éclairage de la route empruntée par un véhicule la nuit » àmha.
Sinon tu peux aussi « planter une aiguille dans un gâteau breton »...
[5] --Casesspent1 16 octobre 2009 à 15:37 (UTC)[répondre]
Je préfère y planter les dents  . --Eiku (d) 17 octobre 2009 à 21:44 (UTC)[répondre]

J’ai rencontré aujourd’hui par hasard s’en mettre plein la lampe (boire immodérément). On pourrait rajouter au passage le sens de gosier à lampe (ne parle-t-on pas de lampées ?). --Eiku (d) 12 octobre 2009 à 21:11 (UTC)[répondre]

Nom propre prononciation modifier

Nom propre Berruer, prononciation Berruère ou Berrué ?

Anglais : (cinéma) big + miniature (citations) --Casesspent1 13 octobre 2009 à 13:18 (UTC)[répondre]

du verbe simuler avec le sufixe "able", qui peut; soit littéralement que l'on peut simuler. Fait. Maginhard 16 janvier 2010 à 21:02 (UTC)[répondre]

J’ai trouvé des « jambes empantalonnées » dans une traduction française de Nachts schlafen die Ratten doch (Wolfgang Borchert). Google donne une bonne dizaine d'occurrences pertinentes pour l’adjectif / participe, mais une seule (format .doc) pour l’infinitif (mais attention : c’est un petit dictionnaire). --Eiku (d) 13 octobre 2009 à 22:33 (UTC)[répondre]

Attention, le dictionnaire cité me semble relever essentiellement de la plaisanterie, même si certains mots qu'il mentionne sont réels. Lmaltier 14 octobre 2009 à 05:32 (UTC)[répondre]
Par contre, Nachts schlafen die Ratten doch, c’est pas de la plaisanterie, au moins (mais c’est vrai que j’aurais dû y regarder à deux fois avant de mentionner ce dictionnaire-là) ! --Eiku (d) 29 octobre 2009 à 11:00 (UTC)[répondre]

j'aimerais le trouver quelque par sur l'internet mais je ne les vues qu'un fois.

expansion ? Mglovesfun (disc.) 14 octobre 2009 à 17:34 (UTC)[répondre]

Ce n'est pas une locution figée alors ? Effectivement avec les débats sur les locutions figées j'aimerais bien savoir ce que cela veut dire. Mglovesfun (disc.) 14 octobre 2009 à 17:23 (UTC)[répondre]

Bonne question. C'est le même sens que set phrase en anglais. D'après une explication citée dans [6] : Une locution figée est une chaîne lexicale de deux ou plusieurs mots. Formant un tout indissociable, elle doit être saisie, lors du décodage, comme une seule unité lexicale. J'ajouterais que c'est aussi et surtout une seule unité lexicale lors du codage de la pensée, c'est-à-dire lorsqu'on parle et qu'on écrit. Lors du décodage, c'est-à-dire lorsqu'on écoute quelque chose, elle doit effectivement être considérée une seule unité lexicale, mais ce n'est le cas en pratique que quand on la connait, pas quand on ne la connait pas (ce qui peut parfois empêcher de la comprendre, mais pas toujours).
Par exemple, hôtel de ville, syndicat d’initiative ou pomme de terre sont des locutions figées incompréhensibles si on les connait pas. faire contre mauvaise fortune bon cœur est aussi une locution figée, mais qui peut être comprise même si on ne l'a jamais entendue, mais qu'on connaît le sens des mots. tout vient à point à qui sait attendre est aussi une locution figée (comme tous les proverbes), mais très facilement compréhensible par tous, tout comme saumon de l’Atlantique. Lmaltier 14 octobre 2009 à 17:39 (UTC)[répondre]
  En tant que telle, la locution n'est p-ê pas figée mais elle est très utile dans un dictionnaire. --Diligent 22 novembre 2009 à 17:14 (UTC)[répondre]

"nouveau" mot à renseigner modifier

neuvage

=impitoyable (« Las fauldra il qu'un gendarme impiteux/tienne ce champ tant culte et fructueux ?», Marot)

  • Tchou-tchou, c'est le cri de la locomotive, ou la locomotive elle même
  • Tchouk-tchouk, c'est apparemment la même chose : « On va la réparer, votre veille tchouk-tchouk » (Tintin au Congo)

yass autre nom du chibre jeux de cartes, voisin du yass... mais qu'est-ce-que le yass???

definition modifier

Préconception=opinion préconçue (opinion sans fondement). preconception, n, parti pris (manque d'objectivité)

Ou ce qui se passe avant la conception du bébé [7] [8] ? --Casesspent1 16 octobre 2009 à 15:25 (UTC)[répondre]

Pas très sûr de ce que c'est, mais j'ai trouvé ça:

  • « Bientôt elle arriva en vue d'une petite pièce d'eau, sorte de grande mare envahie en partie par les joncs et par ce qu'on appelle dans le pays des diagous qui sont en réalité des châtaignes d'eau » (lire). La Bouzoute, André Toupet

Ça se passe en Sologne. --Casesspent1 16 octobre 2009 à 15:20 (UTC)[répondre]

Défuncter modifier

Trouvé dans Cyrano de Bergerac, de Rostand (vers 1056, acte II) : « On ne peut faire, sans défuncter avant l'âge,/ La moindre allusion au fatal cartilage ! » Certainement synonyme de mourir, décéder. 78.250.196.70 16 octobre 2009 à 23:25 (UTC)[répondre]

Oui, et on trouve pas mal d'autres exemples d'emploi sur Internet. Lmaltier 17 octobre 2009 à 05:43 (UTC)[répondre]
Même racine que défunt, vraisemblablement. 78.250.226.69 17 octobre 2009 à 12:01 (UTC)[répondre]
Et que defunct, aussi. --Eiku (d)


L’un de nos mots les plus demandés. Mais je n'en sais rien. Mglovesfun (disc.) 17 octobre 2009 à 18:10 (UTC)[répondre]

C'est un outil (= érigne), ou une plante. Si c'est un mot très demandé, c'est probablement à cause des mots croisés : ce mot est pratique en dernière ligne, étant donné ses lettres. Lmaltier 18 octobre 2009 à 20:28 (UTC)[répondre]
Au fait, pour les anagrammes. Mglovesfun (disc.) 19 octobre 2009 à 14:54 (UTC)[répondre]

DISPOSITIF DE FORMATION (FPA) modifier

— message non signé de [[:fr:User:|]] ([[:fr:User Talk:|d]] · c) du [9]

Je ne comprends pas. Mglovesfun (disc.) 19 octobre 2009 à 14:54 (UTC)[répondre]
je crois comprendre (a)FPA = (Association pour la )Formation Professionnelle des Adultes Sneaky 013 5 décembre 2009 à 22:26 (UTC)[répondre]

Les catégories sportives modifier

Je viens de tomber sur w:Catégorie (sports). Il me semble intéressant de rentrer ces catégories, ainsi que leurs traductions. Mglovesfun (disc.) 18 octobre 2009 à 15:16 (UTC)[répondre]

Belle princesse — message non signé de [[:fr:User:|]] ([[:fr:User Talk:|d]] · c) du [10]

sonia ou Sonia ? Pour Sonia c'est un prénom, je ne connais pas sonia (puis, en quelle langue ?) Mglovesfun (disc.) 19 octobre 2009 à 09:27 (UTC)[répondre]

Tizlic (dérivé du sanskrit Tizli qui signifie pendentif) est le nom traditionnellement donné à un bracelet hindou ( कंगन en Hindi) constitué de 3 perles indiennes réalisées en Inde une par une selon des méthodes ancestrales (voir article en cliquant ici), d'un lacet en cuir (comme le rakhi ou raksha ) et d'un fermoir argenté.

Vision mystique des Tizlics :

S'inspirant du chakra, ces perles indiennes représentent des "centres spirituels" issus d'une conception du Kundalinî-yoga et qui pourraient être localisés dans le corps humain. A chaque Tizlic correspond un état d'esprit ,une humeur,un souhait du porteur du bracelet Selon cette conception, il y aurait 20 Tizlics principaux et des centaines de Tizlics secondaires.

Les Tizlic /Tizlics sont issus d'un système de croyances philosophiques issues de l'Hindouisme. Les premiers textes qui en parlent sont écrits en sanscrit. Pour les personnes adhérant à ces croyances, ils ont une réalité physique et physiologique au même titre que d'autres organes, même si cette physique est, dans leur conception, beaucoup plus subtil. Constitués de matériaux nobles finement travaillés, les Tizlics permettraient d'être en contact selon les croyances ancestrales avec les dieux hindouistes , les dieux de l'inde.

On propose ce mot en quelle langue au fait ? Mglovesfun (disc.) 19 octobre 2009 à 09:26 (UTC)[répondre]
Au moins en français, puisque le texte précédent, qui utilise le mot, est en français. Lmaltier 20 octobre 2009 à 05:31 (UTC)[répondre]
Le texte ci-dessus est un copier-coller de http://www.tizlic.com/ --Casesspent1 20 octobre 2009 à 13:48 (UTC)[répondre]
Coup de pub alors ? Sinon pourquoi la majuscule ? Car je ne vois pas en quoi ce serait un gentilé ou un titre honorifique ou une divinité... (même le mot cité en sanskrit, mais translittéré dans un alphabet latin, devrait être en minuscule, ainsi que le nom de la langue « en hindi »... ou de la religion « l’hindouisme ». Quant au reste du texte, il y manque les accents, des accords comme le féminin, et la bonne typographie. Bref rien à reprendre tel quel de cette « définition » qui n’en est pas une.) verdy_p (d) 27 octobre 2009 à 10:05 (UTC)[répondre]

On le trouve dans l'article floral, je verrai plutôt une mention dans "voir aussi" vers WP.

w:Jeux floraux, sans majuscule à l'adjectif. --Casesspent1 20 octobre 2009 à 13:41 (UTC)[répondre]
Au temps pour moi, mais ça n'aide pas sur le fait de faire un article à part ou renvoyer vers ton lien (dans WP) dans les articles jeu et floral.

À mon avis, ces mots ne sont pas la somme de leurs parties (sauf éventuellement mauvaises intentions, mais alors pourquoi est-ce qu'on ne l'emploie qu'au pluriel ou presque ?) --Eiku (d) 19 octobre 2009 à 14:50 (UTC)[répondre]

mal intentionné : synonyme malévolent... --Actarus (Prince d'Euphor) 25 octobre 2009 à 16:55 (UTC)[répondre]

À première vue, ça a l'air d'être une banale somme de mettre au point + les choses, mais essayez mettre au point les choses... Au mieux, ça ne veut pas dire la même chose, donc je dis locution figée. --Eiku (d) 19 octobre 2009 à 15:25 (UTC)[répondre]

Et quand mettre les choses au point ne suffit pas, on en arrive à mettre les choses aux poings !   --Actarus (Prince d'Euphor) 21 octobre 2009 à 10:03 (UTC)[répondre]

à propos : ajouter un sens et une section de langue ? modifier

L’article à propos compte deux définitions pour le moment. Pourtant, je pense qu’il en mérite trois (je donne des exemples parce que je n’arrive pas à écrire une définition satisfaisante) :

  1. À propos de l’année 2000, voici mes conclusions.
  2. Voilà une remarque qui vient fort à propos.
  3. À propos, est-ce que vous avez entendu parler de José Valhouel ?(Moi non plus, rassurez-vous)

Les deux premières se ressemblent (il y a une cohérence), mais dans la troisième phrase au contraire, à propos sert à sauter du coq à l’âne (paradoxalement, on peut le traduire par : « ce n’est pas à propos, mais je vais quand même vous le demander : avez entendu parler de José Valhouel ? »).

C’est dans ce dernier sens que le mot est indispensable, au même titre que « (tiens), au fait » : je me souviens encore de la torture que c’était quand je ne connaissais ni by the way, ni übrigens et que je voulais commencer une conversation sur un sujet nouveau, à l’étranger !

Autrement, n’oublions pas que à propos n’est pas qu’un mot français : il existe aussi en allemand sous trois formes : à propos (clairement piqué chez nous), a propos (sans doute à cause des claviers et des habitudes) et apropos (ruse pour camoufler l’origine du mot, mais nous ne sommes pas dupes). Il ne s’emploie que pour sens [1] (pour le sens [3], c’est übrigens, justement) et il est immédiatement et obligatoirement suivi d’un nom : »À propos Schuhen: …« : « Tiens, d’ailleurs, en parlant de chaussures, … ».

Voilà ! J’espère que mon verbiage n’est pas trop pénible ! --Eiku (d) 19 octobre 2009 à 21:46 (UTC)[répondre]

Je viens de relire la définition [1] de la page à propos, et finalement, ça irait comme définition pour le troisième (et moins pour le premier exemple, bizarrement). Mais cette définition est difficile à comprendre, je trouve. --Eiku (d)
Bon, en retouchant l’article, je me suis aperçu qu’il y avait une section "interjection", qui correspond à ce fameux sens [3], mais je ne suis toujours pas satisfait de la définition [1]. --Eiku (d) 19 octobre 2009 à 22:11 (UTC)[répondre]
« en ce qui concerne » ?--Casesspent1 20 octobre 2009 à 13:39 (UTC)[répondre]
Merci Casesspent1 ! --Eiku (d) 24 octobre 2009 à 22:13 (UTC)[répondre]
A mon avis le [2] a un sens très différent du [1] et ne signifie pas que cela concerne un sujet donné. Le [2] signifie plutôt « à point nommé », « de façon appropriée/convenable », « de façon justifiée » ... (et aussi « séant / qui sied bien » pour un vêtement).
Il manque encore un 4e sens (figuré du sens [2]) dans « Vous seriez fort à propos de m’offrir votre aide » qui serait synonyme de « bienvenu » ou « de façon attendue », voire aussi « appréciable » ou « aimable » (Votre aide serait appréciée / la bienvenue pour moi) qu›on retrouve aussi utilisée en locution adjectivale dans « une personne à propos » (une personne bienvenue, appréciée). verdy_p (d) 27 octobre 2009 à 10:17 (UTC)[répondre]

channe --Ébauché modifier

Je propose un nouveau mot pour le wiktionnaire: channe, n.f. Il s'agit (en Suisse) d'une cruche généralement en étain utilisée pour servir le vin ou l'eau. Son étymologie est vraisemblablement germanique et similaire à celle de "canette" (can (en) / Kunne (de)).

pas de majuscule si c'est un nom commun. verdy_p (d) 27 octobre 2009 à 10:27 (UTC)[répondre]

Spécialiste en histologie, étude de la formation des tissus des êtres vivants

Ça a l’air valable. Notons qu’histologue possède aussi pas mal d’occurrences sur google. --Eiku (d) 24 octobre 2009 à 22:31 (UTC)[répondre]

Japonais : です (desu) / être modifier

Bonjour, Je n'ai pas trouvé "desu",l'équivalent de "être" en français. Il serait urgent de créer la page, ce mot étant l'un des plus utilisés en japonais. Merci --blacksabbath4343 21 octobre 2009 à 19:00 (UTC)

Pourquoi ne pas essayer (en prenant exemple sur une autre page du japonais) ? Lmaltier 21 octobre 2009 à 18:03 (UTC)[répondre]

Féminin.Personne qui ne merite aucune consideration d'autrui.

somnologiste modifier

spécialiste du sommeil non médecin somnologue par exemple : les spécialistes vendeurs conseil en literie

Refusé. Zéro attestation Google... --Actarus (Prince d'Euphor) 22 octobre 2009 à 08:06 (UTC)[répondre]
Par contre somnologie (12300 résultats) et somnologue (80400 résultats) sont tout à fait recevables --Actarus (Prince d'Euphor) 22 octobre 2009 à 08:10 (UTC)[répondre]
Et d'ailleurs, ils ont une entrée au Wiktionnaire !   --Actarus (Prince d'Euphor) 22 octobre 2009 à 08:11 (UTC)[répondre]
Peut-être un mot maintenant désuet, quand même : cf. la Revue politique et littéraire : revue bleue, qui utilise ce mot en 1884 :
  • Disons seulement que sur cette question les somnologistes ne sont pas d'accord, que pour les uns (M. le docteur Mesnet, M. le docteur (...)
Lmaltier 23 octobre 2009 à 22:10 (UTC)[répondre]

fer doux édité par fethi de Kébili. --Ébauché modifier

le fer doux : c'est un fer chimiquement pur (constitué de particules toutes identiques nommées atomes de fer). Il coûte bien plus cher que le fer contenant des impuretés. Le fer est extrait d'un minerai naturel(bauxite). Ce qui explique que,pour obtenir du fer pur, le procédé est plus coûteux. Le fer doux a la propriété qu'il s'aimante plus facilement même avec des courants électriques faibles. Mais dès qu'il n'y a plus de courant il perd son aimantation, contrairement au fer dur.

Je n’ai jamais entendu parler de ça. Mais est-ce qu’on peut le définir par sa propriété ? (ça se fait assez souvent dans tous les dictionnaires généralistes, dont le nôtre, puisqu’une définition basée sur l’essence du signifié est souvent incompréhensible et n’évoque rien pour celui qui la lit) --Eiku (d) 24 octobre 2009 à 22:12 (UTC)[répondre]
Expression tout à fait justifiée : on l'entend couramment dans la fabrication des transformateurs (on parle du « noyau de fer doux », pour l'anneau central, fait d’une série de lamelles superposées, vernissées contre l’oxydation, puis collées les unes aux autres pour fermer l'anneau, et autour duquel sont enroulées les spires des bobines... On l’utilise aussi dans la fabrication de certaines antennes radio-électriques, aussi bien en émission qu’en réception, pour en augmenter le gain) verdy_p (d) 28 octobre 2009 à 18:46 (UTC)[répondre]

Titre original : "explication". Mais ça n’expliquait rien ! --Eiku (d) 22 novembre 2009 à 18:03 (UTC)[répondre]

Chiffre octanique du carburant --non signé

Ajouter les mots : féloche / féloches -Fait modifier

Il faut créer une page dédiée aux mots féloche et féloches, même s'ils sont familiers. On est d'accord ?

Et que veulent dire ces mots ? --Actarus (Prince d'Euphor) 22 octobre 2009 à 16:22 (UTC)[répondre]
J'ai entendu ce mot dans le sens de "les félicitations, une distinction scolaire", surtout dans le secondaire, mais j'imagine qu'on doit pouvoir l'employer dans des circonstances non scolaires. J'ai l'impression qu'il est surtout utilisé au pluriel. Redirectionneur Phou 23 octobre 2009 à 06:14 (UTC)[répondre]
Ça m'a tout l'air d'une déformation familière, à connotation peut-être péjorative, similaire à "téloche" pour "télé[vision]", "pelloche" pour "pellicule" [photographique], "fastoche" pour "facile", "fantoche" pour "fantasque", "mioche" pour "môme", etc. verdy_p (d) 26 octobre 2009 à 13:52 (UTC)[répondre]
  ça manquait comme composé pour notre AdQ en -oche. --Diligent 22 novembre 2009 à 17:29 (UTC)[répondre]

C’est probablement un hyponyme de idéogramme (dans le livre où je l’ai lu, on pourrait à chaque fois ou presque le remplacer par idéogramme), mais comme je n’en suis pas sûr, je vous pose la question. --Eiku (d) 22 octobre 2009 à 22:30 (UTC)[répondre]

stadis 450 modifier

reinseignement elargi sur le stadis 450, merci et bon courage samir i

Le Stadis 450 est un agent antistatique. Son nom chimique est le "3,7-dinonylnaphtalène-1-sulfonate de baryum". Voir Agent antistatique sur l’encyclopédie Wikipédia  . Chrisaix 29 octobre 2009 à 10:50 (UTC)[répondre]
  • Il ne fait aucun doute que cette décision aura des conséquences sur blablabla…
    = Il n’y a aucun doute sur le fait que …
    en anglais : there is no question about the fact that …

(mais je crois que there is no question peut avoir le sens de il n’est pas question de … s’il n’est pas suivi de about). --Eiku (d) 23 octobre 2009 à 11:48 (UTC)[répondre]

vu que j’ai pas eu de réponse, j’ai créé les pages mais j’ai le sentiment qu’elles sont à retoucher, voire à renommer. --Eiku (d) 6 décembre 2009 à 20:27 (UTC)[répondre]

Que veut dire "point par point"? --Fait modifier

Que veut dire "point par point"?

Point par point veut dire « un point après l’autre ». --Eiku (d) 23 octobre 2009 à 21:49 (UTC)[répondre]
pour point, se référer à la définition 14 :
  1. (Figuré) Parties qui forment la division de certains discours, de certains ouvrages.
    • Un sermon en trois points, le premier point d’une dissertation, d’une méditation.
    • Passer au second point, au troisième point.

--Eiku (d) 23 octobre 2009 à 21:52 (UTC)[répondre]

Contrepied de la métaphore de l’asphyxie financière : ça veut souvent dire « donner de l’argent » ou « permettre d’économiser de l’argent » :

  • Donner de l’air aux ménages, durement touchés par la crise
  • Cette mesure donnera un peu d’air aux PME.

Mais je suis presque sûr qu’il y a d’autres significations, seulement, je ne m’en souviens pas vraiment. --Eiku (d) 24 octobre 2009 à 22:05 (UTC)[répondre]

Ou plutôt "que de tchibanne" dans un langage de yalali! --84.6.46.133

déplacé depuis keutchi. Je n’ai pas d’avis personnel : j’y comprends /kədʃi/, à sa définition. --Eiku (d) 24 octobre 2009 à 22:39 (UTC)[répondre]
Fait par Jackpotte. Merci  . --Eiku (d) 27 mars 2010 à 13:13 (UTC)[répondre]

Je trouve des attestations pour les trois, la première forme étant privilégiée et la troisième semblant être une version orale de la deuxième. --Eiku (d) 25 octobre 2009 à 15:08 (UTC)[répondre]

Le nom commun venant de spécisme c'est quoi ? Mglovesfun (disc.) 25 octobre 2009 à 19:18 (UTC)[répondre]

Là je ne parle pas seulement de la conjugaison du verbe échoir (il échet), mais bien du nom commun (masculin singulier), de même racine étymologique, qui désigne en terme de droit féodal, mais aussi aujourd'hui dans la Common Law anglosaxonne, le pouvoir de réattribution (à l’autorité souveraine) de biens déchus de leur ancien propriétaire.

→ voir escheat et escheat sur le Wiktionnaire et la Wikipédie anglophones : le terme anglais dérive lui-même de façon évidente du français (ou du normand ?)... Et les termes dérivés, également en anglais, escheator (personne investie de la mission de gérer localement les échets perçus au sein d’un comté) et Exchequer (la charge de celui qui reçoit, au nom du souverain, les rapports des escheators : terme traduit en français par échiquier et trouvé dans la locution et le titre de « chancelier de l’échiquier » utilisée au Royaume-Uni, et certainement le titre le plus élevé et le plus puissant là-bas au vu de l’énorme quantité, sans cesse croissante, de biens qu’il gère pour la Couronne et qu’il reloue au public dans des concessions non perpétuelles de 99 ans maximum, ce droit d’échet étant la principale cause de l’immense fortune de la Couronne britannique.)

Citations en moyen français (avant l'Académie française) qui témoigne l’origine commune de échoir avec le mot anglais actuel escheat :
  • XIIe siècle : Cui escheoit l’honor [le fief] et l’heritage. (Ronceveau, p. 159) — Mais se pitiez me pooit escheoir. (Couci, XVIII)
  • XIIIe siècle : Se li heritages est esqueüs à plusors persones d’un meisme degré de lignage. (Beaumanoir, 47)
  • XIVe siècle : Ce est si come il eschiet. (Oresme, Eth., 157)
  • XVe siècle : Or escheï que le sire de Faguoelles estoit monté sur un coursier trop melancolieux et mal enfrené. (Froiss. I, I, 91) — Nous ne pouvons emouvoir guerre au roi de France.... sans escheoir en sentence d’excommunication. (Froiss., I, I, 95) — En ce temps eschurent Pasques si haut, que environ Pasques closes on eut l’entrée du mois de mai. (Froiss., I, I, 194)
  • XVIe siècle : L’eternel est ma portion, mon sort m’est très bien escheu. (Calvin, Inst. 806) — La principale partie est escheute aux evesques et aux prestres des villes. (Calvin, ib., 879) — Il n’escheoit pas de recompense à une vertu qui est passée en coustume. (Montaigne, II, 65) — Des dieux il ne peult venir aucun mal à l’homme, sinon pour son plus grand bien, quand il y escheoit, et pour un medecinal effet. (Montaigne, II, 146) — Le jour de son retour, par cas d’adventure, escheut au propre jour que... (Amyot, Alc., 69) — Il n’en peult advenir que peu d’avantage, s’il luy succede bien, et au contraire perte universelle du total, s’il luy eschet mal. (Amyot, Pélop., 4).

Je ne le trouve dans aucun dictionnaire français avec une définition simple (et je ne suis pas sûr de l'orthographe : « l’échet » ou « l’échêt » ; mais certainement pas échec, même si ce dernier terme est sans doûte encore de même racine étymologique, comme en témoigne le nom échiquier qui traduit aussi en français la charge de celui qui perçoit les échets au nom du souverain), pourtant ce mot existe bien dans les livres de droit, même en français moderne, et désigne un des quatre droits (ou pouvoirs) fondamentaux composant la souveraineté (d’un souverain dans le système féodal, d’un pays, d’un État dans un pays fédéral, ou même d’une nation tribale par exemple aux USA, ou même en France où le « souverain » est le peuple, doté de la personnalité juridique via la Constitution : en Nouvelle-Calédonie ou à Wallis-et-Futuna), conjointement avec le droit/pouvoir de lever les taxes, celui de réguler les individus et sociétés publiques ou privées (y compris leur nationalité liée à l’allégence à l’autorité souveraine et l’acceptation de son droit en échange de certains devoirs), et le pouvoir de police pour faire appliquer ce droit (le pouvoir de défense n’est pas fondamental car il peut être à la charge d’une autre entité souveraine, par exemple en France pour certaines de ses collectivités d’outre-mer, ou aux USA pour ses États et nations tribales, ou dans les possessions européennes de la Couronne britannique, qui ne font pas partie du Royaume-Uni, ou encore pour les Îles Cook associées à la Nouvelle-Zélande).

Noter que pour les Nations Unies, le pouvoir de défense est aussi pris en compte pour définir si un État est pleinement souverain ou non, ce qui en ferait un cinquième pouvoir, son absence signifiant seulement que l’autorité souveraine pour les quatre autres pouvoirs est seulement munie d’une autonomie importante (mais ce qui l’empêche de disposer d’un siège aux Nations Unies ou de disposer d’ambassades, c’est le cas des possessions de la Couronne britannique ou des Îles Cook, ou encore des territoires auto-organisés des États-Unis comme Guam, ou même de ses 50 États et des nations natives américaines et alaskanes, qui ne disposent pas du pouvoir de défense mais disposent des 4 autres ; la Nouvelle-Calédonie est encore moins autonome car elle ne dispose pas du pouvoir de police, même si elle dispose des 3 autres droits/pouvoirs : celui de réguler individus et sociétés (y compris la nationalité), celui du droit d'échet pour les terres et biens dans le droit autochtone, reconnu uniquement en Nouvelle-Calédonie et à Wallis-et-Futuna, et celui de taxes comme toutes les collectivités locales publiques en France dotées de la personnalité juridique et de la fiscalité propre).

Ajout intéressant, le jeu des échecs se disait ieu des échets en ancien français ! En témoigne ce document tiré d'un ancien ouvrage explicant les règles du jeu (PDF), malheureusement sans date visible et dont le nom réel de l’auteur se cache derrière une longue série d’initiales « B.A.D.R.G.S. » mais serait « Benjamin Asperlin De Rarogne, Garde Suisse » (ce serait le plus ancien traité en français connu sur ce jeu, imprimé initialement à Lausanne par David Gentil entre 1676 et 1678). Ce document PDF est libre de droit, mais évidemment pas ses rééditions nouvelles (comme la reproduction faite par la BCU de Lausanne et parue en 2005 sous référence ISBN 2-88888-109-8, www.unil.ch) :
Traitté dv Iev Royal des Échets, sur le site doc.rero.ch (Page de description)
Bref les échecs (le jeu, toujours au pluriel, mais aussi la position d’échec ou d’échec et mat dans le jeu, qui admet alors le singulier) de même que le terme dérivé échiquier déjà cité plus haut, n'ont pas du tout la même origine que le nom commun échec (au sens de échouer / ne pas aboutir / ne pas réussir / ne pas atteindre son but, et non d’échoir / tomber), même si les deux termes ont vu leur orthographe évoluer pour devenir commune, très certainement à cause de la similitude phonétique (ancienne paronymie).
Cela impose donc deux lemmes séparés dans la définition du mot échec (ce sont juste aujourd'hui des homonymes homographes), et ce document semble bien justifier la traduction du terme anglais escheat par échet (même si c'est du vieux français car aucun terme ne l'a remplacé dans son usage dans le droit public).
De plus cela sème un gros doûte sur la véritable origine persanne shah du mot pour désigner le jeu lui-même, même si dans le jeu persan shah désigne évidemment le roi (et même si cela a pu se faire par paronymie avec le mot échet déjà bien existant et alors très usité en ancien français et d'origine francique et latine vulgaire, quand ce jeu est arrivé en Europe à la fin du Moyen-Âge), alors que ça peut seulement expliquer le mot mat dans échec et mat (qui viendrait bien de shah mat). Il est vrai qu'en position de mat, on fait classiquement tomber (choir) le roi vaincu à qui ne peut plus échoir aucun territoire libre puisque l'adversaire ne lui en échet plus aucun, et son joueur échoue au jeu... verdy_p (d) 26 octobre 2009 à 11:33 (UTC)[répondre]

Le pouvoir d’échet (à l’État) existe pourtant bien en France métropolitaine, dans le cas des héritages sans bénéficiaire pour en prendre possession, après une période légale de carence dite aussi « d’échéance » (même origine étymologique) du terme où le bien peut encore être réclamé par son bénéficiaire. On le trouve dans certains livres de droit actuels et les enseignements pour la formation des notaires (même si on trouve plus souvent le terme « déchéance » pour désigner le dispositif légal actuel en France, mais qui ne désigne pas le droit fondamental de souveraineté qui était plus étendu et tel qu'on le trouve appliqué dans les pays de Common Law). verdy_p (d) 26 octobre 2009 à 06:54 (UTC)[répondre]

Note : je trouve cette étymologie dans http://www.merriam-webster.com/dictionary/escheat : du moyen-anglais eschete (réversion de propriété), de l’anglo-français escheir (to fall, devolve : tomber, dévoluer), du latin vulgaire *excadēre, du latin ex- + latin vulgaire *cadēre (to fall : tomber), du latin cadere (tomber).

C'est donc ici évident que le terme anglais a exactement la même origine que notre verbe échoir (conjugué il échet), et l’anglo-français dont il parle est évidemment le vocabulaire de l’ancien normand mélé de français tel qu’il était parlé par les nobles, importé par les Normands lors de leur invasion de l’Angleterre, avant qu’ils perdent leurs terres continentales sous le reigne de Jean Sans Terre (qui a rejeté l'ancienne allégeance du Duché de Normandie au Royaume de France en prenant la tête du Royaume normand d’Angleterre : le Roi de France a en fait use lui-même de son droit d'échet sur la Normandie continentale pour en prendre possession, puisque son vassal normand ne voulait plus s’y présenter et a préféré la sécurité de l’Angleterre que le Roi de France n’a pas pu lui-même reconquérir). verdy_p (d) 26 octobre 2009 à 08:13 (UTC)[répondre]

Je ne peux toujours pas créer la définition du nom commun, car je n'arrive pas à trouver de référence en français sur le web (mais j'ai des extraits de livres imprimés, qui ne sont pas d'accord sur l'orthographe, vu justement qu'on ne trouve pas ce mot dans nos dictionnaires français ; j'écrirais bien à l'Académie française pour leur poser la question sur l’orthographe à retenir et voir dans quel mesure ce mot appartient bien au français moderne, ou seulement au français d'avant le XVIe siècle où justement l'orthographe n'était pas encore fixée, ce mot ayant été remplacé plutôt par un autre que je n'arrive pas du tout à trouver, alors qu'il a d’évidence un usage actuel qui ne peut être sous l'orthographe anglaise actuelle)... verdy_p (d) 26 octobre 2009 à 08:25 (UTC)[répondre]

J'ai utilisé le formulaire de contact sur le site de l'Académie française pour leur poser la même question (avec un lien vers cette page en plus de mon adresse courriel, s'ils veulent répondre ici). Je verrai bien si le sujet les intéresse, et ne manquerai pas de communiquer leur avis. verdy_p (d) 26 octobre 2009 à 08:34 (UTC)[répondre]

Noter encore un terme qui peut sembler proche mais semble avoir une étymologie différente (mais qui se rejoint peut-être dans le latin classique ou par métonymie, ce qui met en doûte l'une ou l'autre étymologie) :
échevin n. m. (XIIe siècle, eskievin. De l’ancien bas-francique *skapin, « juge », attesté par le latin vulgaire *scabinūs de l’époque mérovingienne).
  1. (Histoire) Dans l’empire carolingien, juge adjoint du tribunal comtal (à comparer avec les actuels escheators anglais, et auparavant normands qui ont aussi les charges similaire de gestion du patrimoine souverain dans le comté, mais surtout la charge de la collecte des taxes et de l'échet suite à une décision judiciaire de saisie...)
  2. (Histoire) À partir du XIIIe siècle, dans les communes du Nord de la France, puis dans la plupart des villes du royaume de France, magistrat municipal (fonction aujourd’hui évolue au seul maire qui préside la municipalité au nom du peuple souverain), dont la charge et le titre (de représenter le souverain sur ses terres et percevoir l'échet) subsistèrent jusqu’à la Révolution.
    • Premier, second échevin.
    • Le prévôt des marchands et les échevins de Paris.
    • Les échevins de Toulouse étaient appelés capitouls.
  3. (Belgique) Aujourd’hui, conseiller municipal chargé d’un domaine de l’administration communale.
    • L’échevin de l’état civil.
    • L’échevin des travaux publics.
    • Le bourgmestre et les échevins.
verdy_p (d) 26 octobre 2009 à 08:55 (UTC)[répondre]

Réponse de l'Académie française modifier

Voici une première réponse du service du dictionnaire de l'Académie (que je viens de recevoir aujourd'hui).

Monsieur,
En effet, les équivalents de l'anglais "escheat" que vous évoquez ne figurent pas dans les dictionnaires de langue française d'usage courant (ni d'ailleurs dans le dictionnaire spécialisé de Cornu), si ce n'est parfois comme forme vieillie du verbe "échoir" (il échoit ; mentionnée comme telle dans le Dictionnaire de l'Académie française de 1932).
En revanche, dans le domaine du droit, nos amis québécois proposent deux équivalents français au terme anglais escheat, que vous retrouverez dans le Grand dictionnaire terminologique (http://www.granddictionnaire) :
en droit civil, déshérence, défini comme la "réversion d'un immeuble à l'État lorsque le propriétaire meurt sans laisser d'héritier" et,
en droit des assurances, droit de naufrage.
C'est le premier sens qui, visiblement, vous intéresse : c'est pourquoi je vous recommande d'utiliser l'équivalent français proposé par les Québécois.
Enfin, il n'est pas étonnant que le terme ne figure dans aucun de nos dictionnaires puisqu'il recouvre un concept du droit anglo-saxon et non de notre droit latin : il n'y aura donc pas eu de besoin linguistique, jusqu'ici, tel pour qu'on lui trouve un équivalent français, si ce n'est au Québec, pays plus exposé à la conquête de l'anglais et des réalités anglo- saxonnes, en raison de sa situation géographique. Toutefois, si le besoin se faisait sentir, notamment en raison de l'intrication actuelle des économies et de l'influence grandissante du droit anglot-saxon (voyez l'arrivée des notions récentes du "plaider-coupable" ou de 'l'action de groupe"), le terme anglais "escheat" serait examiné dans le cadre du dispositif de terminologie et de néologie. C'est pourquoi nous vous remercions vivement de l'avoir porté à notre attention.
Recevez, Monsieur, mes cordiales salutations.
(signature masquée)

Note : le lien proposé dans le message ci-dessus que j'ai reçu, pour le « Grand dictionnaire terminologique » est faux, c'est en fait : http://www.olf.gouv.qc.ca/ressources/gdt.html

Elle ne propose pas de traduction satisfaisante car la « déshérence » n'est pas une condition nécessaire pour que s'exerce ce droit d'échet (même si elle suffit en France ou au Canada), et la déshérence n'implique pas nécessairement l'échet (dans certains cas légaux il faut que le souverain ou l'Etat en fasse la demande explicitement, ce qui n'exclue pas que la loi prévoie une déclaration obligatoire des biens en déshérence auprès de ses services fiscaux).

Et les deux définitions canadiennes indiquées sont insuffisantes (et beaucoup trop restrictives, elles parle dans le premier cas de biens immeubles uniquement, et uniquement en cas d'héritage sans héritiers, ce qui ne correspond pas au sens bien plus large du mot anglais), et effectivement trop spécialisées (droit civil et droit des assurances, alors que rien ne mentionne le droit plus général des États, c’est à dire le droit constitutionnel et le droit international, où le terme anglais est utilisé).

En plus, je viens de trouver des références au mot « échet » dans les parties écrites en français du grand livre des statuts des États-Unis, où elles sont souvent juxtaposées à côté du même texte en anglais où figure le mot escheat (dans ce grand livre, immense et comprenant de nombreux volumes, figurent tous les traités, conventions et articles de droit international, dont plus de 10 000 en vigueur selon les archives du Congrès des Etats-Unis et sur lesquels reposent toute la législation américaine, en plus de sa propre Constitution qui fait référence, comme aussi la Constitution française, aux traités internationaux, avec de nombreuses traductions dans les langues des autres États signataires depuis la fondation des États-Unis, et même d’avant quand les États-Unis sont devenus successeurs reconnus de ces plus anciens traités).

De plus, quand le droit du souverain est acquis automatiquement, nul ne peut le contester même s’il a pu en faire un usage exclusif pendant une longue période ou transmettre le bien (par vente ou héritage), ou l'exploiter (location...), ou payer des impôts sur ces biens ! On l'a vu dans le cas de la loi sur le littoral, où l'État a fait droit de sa propriété exclusive pour expulser des occupants illégitimes qui s'étaient appropriés des surfaces pour construire des « cabanes » voire même des consutructions bien réelles (maisons, installations portuaires, digues...) en les condamnant même à payer les travaux de destruction des installations illégales, alors même que dans certains cas, ces occupants avaient pu obtenir des permis de construire (jugés plus tard illégaux) et même payer des impôts locaux (qui en eux même ne servent pas à payer le droit de propriété, mais le droit d’usage lié aussi à l’utilisation de services rendus par l’État ou la collectivité pour la desserte ou la protection de l’environnement ou d’autres services liés à la sécurité).

La « déshérence » sert juste à qualifier l'état d'un bien en attente d’une prise de possession (ou de reprise de possession s'il s'agissait d'un bien volé ou acquis illégalement, et saisi par la police, et en attendant il peut être géré par un service de l’État, ou un notaire qui doit le garantir ou le mettre en dépôt, par exemple en France la Caisse des dépots et consignations), soit par son destinataire légitime, soit par son propriétaire légitime, soit par un ou plusieurs successeurs légitimes (s’ils peuvent être retrouvés dans ces trois cas), soit par le souverain qui exercera son droit « d’échet » (qui s'applique aussi, au moins en partie, aux inventeurs de trésors, par exemple archéologiques pour lesquels il est impossible de déterminer précisément la liste complète des héritiers ou dont ces héritages sont déchus depuis longtemps) qui soit en fera usage lui-même, soit le mettra en vente (par son service des « domaines »).

Le droit d'échet du souverain s'applique aussi aux décisions judiciaires (suite à une condamnation, un ancien propriétaire peut être déchu immédiatement de son droit, qui revient alors au souverain ou son représentant constitutionnel, si le bien déjà saisi ou confisqué à l’exécution de cette décision ne revient pas à une autre partie légitime, que cette partie soit reconnue dans son droit lors de la décision judiciaire alors qu’elle s'était portée partie civile dans la procédure judiciaire, ou que cette partie se soit fait connaitre pour faire légitimer son droit dans le temps imparti après la publication de la décision). Dans ce cas là, le bien n'est pas non plus en déshérence, puisque le ou les destinataires des biens sont connus.

Il ne reste pas moins que le mot échet existe bien en français moderne du XVIIIe siècle et peut-être encore au delà (même s'il est désuet aujourd’hui), au moins comme synonyme de l’actuel mot échec (pour le jeu), et comme le confirme ici l’Académie, comme une forme vieillie (1932) de la conjugaison du verbe échoir. verdy_p (d) 5 novembre 2009 à 22:31 (UTC)[répondre]


J'ai beasoin de définir les mots suivants : Intertextualité, Décontextualité, Réthorique...

Pouvez-vous m'aider SVP ?

intertextualité et décontextualité sont à définir. Pour rhétorique, il existe déjà. --Eiku (d) 26 octobre 2009 à 16:52 (UTC)[répondre]
intertextualité  : existence de liens entre des textes ou discours, souvent d’auteurs différents. --Eiku (d) 26 octobre 2009 à 16:52 (UTC)[répondre]
et de un. --Eiku (d) 28 octobre 2009 à 00:22 (UTC)[répondre]

Vu à la télé : inmanageable --Créé modifier

(plus exactement entendu) in- + manager + -able. --Casesspent1 26 octobre 2009 à 21:17 (UTC)[répondre]

C'est probablement inventé par la personne qui l'a employé. Attendons qu'il fasse souche (éventuellement, très éventuellement...) avant de l'accepter. Rien ne presse... --Actarus (Prince d'Euphor) 27 octobre 2009 à 08:57 (UTC)[répondre]
Si ça s'écrivait, ça prendrait deux m (on n’a jamais nm en français, même en cas de nasalisation). Donc plutôt immanageable. Voir par exemple immangeable (encore nasalisé, cas assez exceptionnel) et comparer avec immatériel, immature, ou immortel (dénasalisés comme c’est pratiquement toujours devenu le cas, même avec d'autres racines commençant par d'autres consonnes comme irréel, irréaliste, irréalisable, anciennement inréalisable, la dénasalisation du préfixe in- étant presque systématique avant une racine en m- ou r- où la consonne du préfixe mute toujours en celle de la racine suivante, il n'y a qu'avant une racine en p ou b que le n du préfixe mute en m tout conservant la nasalisation, la dénasalisation étant aussi toujours présente sans mutation du n avant les racines commençant par une voyelle comme dans inavoué, alors que le préfixe conserve sa nasalisation et reste sans mutation avant une racine en d-, t-, c-, qu-, g-, j-, l-, v-, f-, s-, z-)... Même si la dénasalisation n'est pas une règle absolue pour les racines en m- (la nasalisation est plutôt l'exception pour certains termes très courants et anciens), en revanche il n'y a pas d'exception sur la mutation en im- du préfixe même dans ce cas.
Comme le mot que tu cites est formé à partir d'un anglicisme, vouloir le combiner avec une nasalisation inexistante en anglais est plutôt étrange au niveau de la prononciation qui devrait être comme immatériel (et non comme immangeable...) Mais je pense que dans ce cas cela resterait plutôt lourd et qu'on dira plutôt « non manageable » tout simplement. verdy_p (d)
Je prononcerais personnellement le in nasalisé (c'est dénasalisé dans les mots très classiques, mais dans les nouveaux, je ne pense pas). Je trouve deux exemples au singulier et un au pluriel par Google (pour immanageable/immanageables). C'est presque sûr que ça a été inventé séparément par chaque personne qui l'a utilisé, mais comme il y a déjà plusieurs utilisations rien que sur Internet, et sans doute beaucoup plus à l'oral, dont celle mentionnée (ce qui n'est pas étonnant vu la construction très standard), on pourrait l'inclure. Lmaltier 27 octobre 2009 à 19:00 (UTC)[répondre]
Comme je l'ai dit : il est urgent... d'attendre. Attendons que ce mot ait (éventuellement) pris racine (ce n'est gagné d'avance...) avant de le consigner en nos pages. --Actarus (Prince d'Euphor) 27 octobre 2009 à 19:08 (UTC)[répondre]
C'est un mot qui existe maintenant, donc on peut l'inclure, on inclut même les mots rares (et celui-là n'est probablement pas si rare que ça). Mais ce n'est certes pas la priorité des priorités. Lmaltier 27 octobre 2009 à 19:11 (UTC)[répondre]
Il « existe » maintenant, peut-être, mais existera-t-il dans 5 ou 10 ans, ou sera-ce simplement une création morte-née ? --Actarus (Prince d'Euphor) 27 octobre 2009 à 19:21 (UTC)[répondre]
Peu importe, on n'enregistre pas que les mots qui se sont implantés de façon réellement durable. Et on accepte même les mots récents (ce sont même souvent ceux que les lecteurs sont les plus amenés à consulter, ce serait idiot de refuser de les inclure). Je parle en ce qui concerne le Wiktionnaire seulement, bien sûr, les dictionnaires papier ont des contraintes très différentes, et attendre avant d'inclure un mot pour voir si l'emploi dure est tout à fait défendable pour les dictionnaires papier (pour diverses raisons). Lmaltier 27 octobre 2009 à 19:43 (UTC)[répondre]

immanageable semble exister en anglais : the word immanageable, which President Kennedy used in his speech to Premier Khrushchov in October 29, 1962. --Casesspent1 28 octobre 2009 à 17:43 (UTC)[répondre]

  Créé ! Comme ça on réglera ça en "pages à supprimer" dans quelques mois  . --Eiku (d) 22 novembre 2009 à 17:59 (UTC)[répondre]

et de un, et de deux, et de trois, etc. modifier

Qu’en pensez-vous ? Admissible, je pense. Mais à quelle catégorie grammaticale ça appartient, ça, je n’en sais fichtrement riendutoudutout   ! --Eiku (d) 28 octobre 2009 à 00:23 (UTC)[répondre]

Il y aussi et d’une, (et de deux, et et trois, etc.) Par contre, pour la catégorie grammaticale, je cale un peu, là... Cdlt --Actarus (Prince d'Euphor) 28 octobre 2009 à 10:01 (UTC)[répondre]
Locutions adverbiales, car employées comme les adverbes « premièrement » ou « primo » (le « et » est optionnel aussi, calqué sur d’une part, avec un redirect malheureux à corriger, et d’autre part, qui n’est pas une locution nominale donc à corriger, ou encore de plus, à créer), ou locution conjonctives (avec « et »)... verdy_p (d) 28 octobre 2009 à 18:53 (UTC)[répondre]
  Créé. — TAKASUGI Shinji (d) 6 avril 2017 à 05:11 (UTC)[répondre]

Ce sont des adjectifs et des noms, je crois. Par contre, pour la deuxième forme, c’est peut-être seulement une déformation de la prononciation de la première… --Eiku (d) 28 octobre 2009 à 11:05 (UTC)[répondre]

Ce sont des locutions nominales (familières) pour moi, et pas du tout des locutions adjectivales (puisque qu'en tant que compléments épithètes ou compléments d'un verbe d'état, on préfixe ces locutions nominales par la préposition à, même en langage familier)... verdy_p (d) 16 novembre 2009 à 05:37 (UTC)[répondre]
Pas d’accord sur le à : dans la Drôme et à Lyon, j’entends bien plus souvent tu es complètement deux de tension que tu es complètement à deux de tension. Par contre, je suis évidemment bien d’accord que ce sont des locutions et qu’elles sont (très) familières. --Eiku (d) 6 décembre 2009 à 20:57 (UTC)[répondre]
Bon, je les crée en tant que loc-nom et loc-adv et si tu veux corriger, pas de problème. --Eiku (d) 6 décembre 2009 à 20:59 (UTC)[répondre]

L'article cold n'a pas la définition qui permet de comprendre le titre de la série télé je pense. Ou faut-il créer la locution ? --Casesspent1 29 octobre 2009 à 11:42 (UTC)[répondre]

Je pense qu’il faudrait faire les deux,
  1. parce que cold case est figé (y a-t-il des synonymes utilisant aussi cold ?)
  2. parce que cold peut être utilisé dans un sens assez proche (c’est le contraire du « tout chaud »). Genre la vengeance qui se mange froide, c’est bien un peu pareil.
  3. pour être sûr que le visiteur trouve l’info. --Eiku (d) 29 octobre 2009 à 17:48 (UTC)[répondre]

tasspé modifier

(Grossier) Prostituée, fille d'un mauvais genre, femme désagréable.

Vient du verlan de pétasse.

Je supprime l'indication manque d'attestations ? Je ne connaissais pas ce mot, mais je trouve des attestations sans problème. Lmaltier 4 novembre 2009 à 07:03 (UTC)[répondre]
Je connais personnellement le mot, mais l’écrit-on vraiment comme cela : tasspé ?--Actarus (Prince d'Euphor) 4 novembre 2009 à 07:14 (UTC)[répondre]
C'est du verlan ordinaire (on peut refaire tout le dictionnaire comme cela), cela n'a pas d'orthographe. --Szyx (d) 4 novembre 2009 à 11:50 (UTC)[répondre]
« taspé veu dire pétas.c'est utilisée par les jeune mais invérsser [pétass = taspé] » [11]  --Szyx (d) 4 novembre 2009 à 12:55 (UTC)[répondre]

La liqueur de Fehling est un réactif qui peut etre mis en evidence par les Glucides réducteurs (glucose,saccharose...) La liqueur de fehling a une coloration bleue , si on veut mettre celle ci en evidence pour voir si il y a des glucides on fait l'experience suivante: Dans un tube a essai on met un glucide et pui on rajoute quelques gouttes de reactif si le test est positif la liqueur de ehling deviendra rouge brique.