abrégément
Français modifier
Étymologie modifier
Attestations historiques modifier
- (XVe siècle) Pour abregement guerir ou mourir, Plus ne puis fournir, Se sens ne m’aprent. — (Charles d'Orléans, Rondeau.)
- Et le plus abregement que faire se peut, le bailli comanda qu’on depeschast notre pauvre coquart. — (Louis XI de France, Nouvelles 75)
Adverbe modifier
abrégément \a.bʁɛ.ʒe.mɑ̃\
- D’une manière abrégée. Adverbe usité autrefois et qui n’a rien qui l’empêche d’être usité de nouveau, puisqu’il se comprend sans peine.
Prononciation modifier
- La prononciation \a.bʁɛ.ʒe.mɑ̃\ rime avec les mots qui finissent en \mɑ̃\.
- France (Lyon) : écouter « abrégément [Prononciation ?] »
- France (Toulouse) : écouter « abrégément [Prononciation ?] »
- France (Grenoble) : écouter « abrégément [Prononciation ?] »
- France (Saint-Étienne) : écouter « abrégément [Prononciation ?] »
- France (Vosges) : écouter « abrégément [Prononciation ?] »
- France : écouter « abrégément [Prononciation ?] »
Anagrammes modifier
→ Modifier la liste d’anagrammes
Références modifier
- Tout ou partie de cet article est extrait du Dictionnaire de la langue française, par Émile Littré (1872-1877), mais l’article a pu être modifié depuis. (abrégément)