achetable
Français modifier
Étymologie modifier
Adjectif modifier
Singulier | Pluriel | |
---|---|---|
Masculin et féminin |
achetable | achetables |
\aʃ.tabl\ |
achetable \aʃ.tabl\ masculin et féminin identiques
- Qui peut être acheté.
- Et si je meurs en ma poursuite, ce ne sera point sans honneur. L’oser seulement entreprendre est une gloire achetable de mille morts. — (Antoine de Montchrestien, La bergerie, dans Les Tragédies d’Anthoine de Monchrestien, Rouen, 1627, page 377)
- D’ailleurs, je ne suis point achetable ; & qui que ce soit n’a eu le pouvoir de me mettre à prix. — (Epidique de Plaute, III, 3, traduction de Nicolas Gueudeville, Les comédies de Plaute, Leyde, Pierre Vander Aa, 1719, page 83)
- Si l'on court après l'argent, c'est donc parce que tout ou presque, tout le monde ou presque, est achetable. — (Daniel Marguerat, Nicoleta Acatrinei, Parlons argent: économistes, psychologues et théologiens s'interrogent, 2006)
Antonymes modifier
Traductions modifier
- Anglais : buyable (en)
- Croate : kupljiv (hr)
- Italien : comprabile (it), acquistabile (it)
- Suédois : fal (sv), som kan köpas.
Prononciation modifier
- La prononciation \aʃ.tabl\ rime avec les mots qui finissent en \abl\.
- France (Lyon) : écouter « achetable [Prononciation ?] »
- Mulhouse (France) : écouter « achetable [Prononciation ?] »
- Aude (France) : écouter « achetable [Prononciation ?] »
Ancien français modifier
Étymologie modifier
Adjectif modifier
achetable \Prononciation ?\
- Qu’on peut acheter.
Références modifier
- Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage