Étymologie

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(Date à préciser) → voir ferme

affermer \a.fɛʁ.me\ transitif 1er groupe (voir la conjugaison)

  1. Donner à ferme ou prendre à ferme.
    • Mais, à côté de ces favorisés, il y a la masse des autres paysans qui n’ont pas de bonne terre à faire valoir ; ceux-là, devant l’extension du machinisme, trouveront de plus en plus difficilement à affermer des champs où leur force de travail puisse s’employer. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde : Le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
    • (Sens figuré)[…] ; le Petit Parisien, qui était l’un des journaux français qui avaient affermé l’entretien de la gloire de Witte, disait que la grande grève d’octobre 1905 se termina par suite de la misère des ouvriers ; […]. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, chapitre V, La grève générale politique, 1908, page 216)
  2. (En particulier) Prendre ou donner en location, en vue de les sous-louer, des emplacements publicitaires, moyennant une redevance fixe.
    • Or il est à la veille, grâce à de puissantes interventions, d’affermer complétement la publicité de Lutèce-Journal. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, pages 217-218)

Traductions

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Prononciation

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Paronymes

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Anagrammes

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Références

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